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Hospitalisation privée : Ramsay Générale de santé lance une OPA sur le Groupe Capio
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Mise à jour du 17/07/2018 : Capio rejette l’OPA non sollicitée de Ramsey Générale de Santé....à suivre !

13/07/2018 : Ramsay Générale de Santé S.A. (« RGdS ») annonce une offre publique d’achat visant l’ensemble des actions de la société Capio AB (publ) (“Capio”) admises aux négociations sur le Nasdaq Stockholm à un prix de 48,5 SEK par action en numéraire (l’ « Offre »).

Le groupe combiné formé par le rapprochement entre RGdS et Capio se positionnerait en leader pan-européen des services de soins et de santé privés, présent dans six pays, avec pour priorité l’excellence médicale et opérationnelle. Le groupe combiné assurera un service innovant et de qualité à ses patients et offrira un environnement professionnel attractif pour les médecins et collaborateurs.

Le Président du Conseil d’Administration de RGdS, Craig McNally, a déclaré : « Capio dispose d’un portefeuille attractif d’activités dans la santé en Europe et présente une forte complémentarité stratégique avec RGdS. Le groupe combiné aura un profil unique dans le secteur de l’hospitalisation privée en Europe avec une présence dans six pays ayant chacun de solides perspectives de croissance. Les activités de Capio sont particulièrement performantes et la société jouit d’une position forte dans les pays scandinaves, où il exploite tant des hôpitaux que des cliniques spécialisées et des centres de santé. Etant un des leaders de l’offre de services de soins basée sur les résultats et la qualité, Capio a été à l’avant-garde du développement des cliniques spécialisées. Ces atouts constituent un potentiel de développement important pour notre groupe en France comme à l’international. »

Le Directeur général de RGdS, Pascal Roché, a ajouté: « Notre objectif est de créer un leader de l’hospitalisation privée en Europe avec plus de 20 millions de patients dans six pays. Capio constitue un actif unique et stratégique, doté de praticiens et de personnels hautement qualifiés, qui viendront renforcer la diversité de notre modèle tout en ouvrant de nouvelles opportunités pour RGdS, ses actionnaires et ses employés. Cette opération se justifie sur le plan financier par l’importance des synergies attendues et l’accélération de nos perspectives de croissance qui en résulterait. Elle est par ailleurs particulièrement attractive pour les actionnaires de Capio. Nous sommes impatients de nous lancer dans cette nouvelle aventure aux cotés des équipes de Capio. »

CONTEXTE ET MOTIFS DE L'OFFRE

A propos de Ramsay Générale de Santé

RGdS est le premier groupe d’hospitalisation privée en France avec 120 établissements (dont 30 centres de santé mentale). RGdS emploie plus de 23 000 personnes, soigne près de 2 millions de patients et enregistre près de 550 000 passages dans ses services d’urgence chaque année. Sur la période de 12 mois écoulés au 30 juin 2017 (exercice fiscal), RGdS a publié un chiffre d’affaires et un EBE respectivement d’environ 2,2 Mds€ et 266 millions d’euros.

RGdS est basée à Paris et ses actions sont cotées sur Euronext Paris. RGdS est actuellement contrôlée par deux actionnaires de premier ordre : Ramsay Health Care (« Ramsay »), un leader mondial de l’hospitalisation privée basé en Australie qui détient environ 50,9% du capital, et Prévoyance Dialogue du Crédit Agricole (« Prédica »), filiale du groupe Crédit Agricole (l’un des principaux groupes de banque et d’assurance en France), qui détient environ 38,4% du capital.

Motifs de l’opération

Le plan stratégique de RGdS a pour objectif de positionner le groupe comme un acteur incontournable des services de soins d’ici 2020. Ce plan stratégique est fondé sur 4 axes clés : (i) la digitalisation de la relation entre les patients et les médecins, (ii) l’optimisation des services et de la structure du groupe, (iii) la mise en place d’une offre de santé innovante vis-à-vis des patients et des médecins, et (iv) le recrutement et le maintien des talents, notamment parmi les médecins, grâce au développement de compétences médicales de pointe et la construction de parcours de carrière. L’Offre proposée, en adéquation avec cette stratégie, permettrait la création d’un groupe unique avec de nombreux points forts spécifiques et attractifs :

  • Un leadership sur ses marchés et une volonté de fournir des services de soins et de santé de qualité : regroupant RGdS et Capio, le groupe combiné deviendrait l’un des principaux opérateurs privé pan-européen dans les services de soins et de santé avec une présence dans six pays et une place de premier rang en France et en Suède. RGdS et Capio sont tous deux reconnus pour la qualité de leurs prestations de soins et de santé.
  • Une présence dans des marchés de taille significative avec d’importants leviers de croissance : moteur de l’innovation et de la création de valeur dans la santé, le secteur privé continue de bénéficier de l’externalisation des prestations de soins par les gouvernements locaux. Par ailleurs, le nouvel ensemble constituerait une plateforme exceptionnelle pour intensifier le mouvement de consolidation de l’industrie. Des économies d’échelle supplémentaires, une attractivité pour les médecins et les autorités réglementaires, une optimisation à l’échelle locale et la création de centres de santé spécialisés seraient sources de création de valeur et permettraient d’améliorer la qualité des services hospitaliers à terme.
  • Une expertise unique en termes de spécialisation des soins et du déploiement d’une médecine moderne dans l’intérêt des patients et de la collectivité : Capio est un pionnier dans le développement des soins ambulatoires et de la réduction des temps de séjour, grâce à l’accent mis sur la productivité et une offre de soins alliant qualité et volume d’actes important. Capio a par ailleurs réussi le transfert des soins facultatifs vers des cliniques spécialisées indépendantes. Ces expériences et savoir-faire de Capio peuvent être pleinement déployés dans un contexte où, en France comme dans d’autres marchés, les modèles de remboursement des soins de santé se transforment et où les initiatives permettant une médecine moderne sont davantage recherchées par les payeurs.
  • Une expertise et une connaissance approfondies dans la digitalisation : en s’appuyant sur la récente mise en service de “Capio Go” et “Better Visits”, RGdS pourrait accélérer sa stratégie de digitalisation et d’innovation, par exemple par le développement d’une offre de télémédecine sur son portail “Ramsay Services”.
  • Accès à une base de patients élargie : L’élargissement de la base de patients et la forte notoriété de RGdS et de Capio permettraient au groupe combiné de gagner des parts de marché.

En résumé, le groupe combiné (comprenant RGdS et Capio) deviendrait l’un des principaux fournisseurs de services de santé en Europe, avec une empreinte géographique équilibrée dans six pays et la capacité d’offrir aux patients une proposition de valeur attrayante grâce à la combinaison de son expertise sur toutes les spécialités médicales et d’un modèle de soins innovant.

L’une des priorités de RGdS est l’amélioration de la qualité de vie des patients grâce à des méthodes qui les aident à se rétablir plus rapidement et à la réduction de la durée des séjours. Capio partage ces valeurs et RGdS est confiant sur sa capacité à construire un groupe puissant en partenariat avec l’équipe de direction de Capio. RGdS apprécie la valeur des cadres dirigeants et employés de Capio, reconnait que leur talent et leur engagement sont constitutifs du succès historique et futur de Capio, et a donc l’intention de s’appuyer sur leur soutien et leur expertise. A ce stade, RGdS n’anticipe pas que l’opération envisagée ait d’impact significatif sur les employés de Capio, y compris en ce qui concerne les conditions d’emploi et les sites où Capio exerce son activité. Après la réalisation de l’Offre, un examen attentif des activités combinées sera effectué afin d’évaluer la meilleure façon de développer et d’organiser le nouveau groupe.

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Première thyroïdectomie ambulatoire réalisée à la Pitié-Salpêtrière AP-HP pour un cancer
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crédit photo : AP-HP

Les équipes du service de chirurgie viscérale et endocrinienne de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière AP-HP, dirigées par le Pr Fabrice Menegaux, ont réalisé le 13 juin 2018 la première thyroïdectomie ambulatoire à l’AP-HP chez une patiente souffrant d’un cancer de la thyroïde.

Cette intervention s’ajoute aux huit autres thyroïdectomies réalisées en ambulatoire depuis l’ouverture début avril 2018 de la nouvelle unité de chirurgie ambulatoire multidisciplinaire de la Pitié-Salpêtrière AP-HP*. 

Après celles, préliminaires, menées par les équipes de l’hôpital Jean-Verdier AP-HP au début des années 2000, cette série d’interventions en ambulatoire, qui constitue une première à l’AP-HP par son nombre, marque une nouvelle étape dans le développement de la chirurgie ambulatoire à l’AP-HP. 

Le Pr Fabrice Menegaux, chef du service de chirurgie viscérale et endocrinienne à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière AP-HP et Professeur à la faculté de médecine de Sorbonne Université, avec la collaboration du Département d’Anesthésie-Réanimation, notamment du Dr Sophie Di Maria et du Pr Mathieu Raux, et de l’Unité Thyroïdes – Tumeurs Endocrines du Pr Laurence Leenhardt, a réalisé la première thyroïdectomie ambulatoire à l’AP-HP chez une patiente âgée de 51 ans souffrant d’un cancer thyroïdien avéré. La patiente est entrée au bloc à 10h et a pu quitter l’hôpital avec son accompagnant à 16h. Elle a bénéficié d’une prise en charge optimale, d’un suivi postopératoire rapproché et se porte bien.

Le cancer (confirmé ou suspecté) est l’une des indications de la chirurgie thyroïdienne. Les autres motifs pouvant conduire à proposer une thyroïdectomie sont les nodules ou les goitres multinodulaires compressifs avec gêne à la déglutition ou à la respiration, et certaines hyperthyroïdies. Le cancer thyroïdien a un excellent pronostic mais sa guérison passe dans l’immense majorité des cas par une intervention chirurgicale pour effectuer une thyroïdectomie qui consiste à pratiquer l’ablation de tout ou partie de la thyroïde. Cette exérèse est le plus souvent complétée par l’ablation de ganglions lymphatiques (curage) cervicaux car il s’agit d’un cancer très « lymphophile », s’étendant précocement à ces ganglions.

La chirurgie thyroïdienne se prête à une prise en charge ambulatoire car l’intervention n’est pas très longue (environ deux heures), elle est peu douloureuse grâce aux protocoles d’analgésie, et son taux de complications postopératoires immédiates est faible.

L’ouverture à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière AP-HP de la nouvelle unité entièrement dédiée à la chirurgie ambulatoire avec des circuits parfaitement définis, un personnel soignant (médical et paramédical) formé aux spécificités de cette prise en charge, une information et une organisation assurée par des IDEC (infirmières coordinatrices), et des protocoles de surveillance bien établis, a été une opportunité pour débuter en toute sécurité cette activité chirurgicale particulière.

C’est donc après l’ouverture de la plateforme et après des travaux effectués à partir d’une base de données de plus de 15.000 patients opérés de la thyroïde dans le service du Pr Fabrice Menegaux [Chereau N. et al. (Groupe hospitalier Pitié – Salpêtrière AP-HP, Sorbonne Université), travaux présentés au 39th Annual Meeting of the American Association of Endocrine Surgeons (AAES), 2018, Durham (USA)] qu’a été définie une échelle de risque d’hématome permettant de préciser les facteurs favorisant cette complication et ainsi d’exclure de l’ambulatoire des patients dont le risque serait trop élevé.

Le nombre de patients opérés en ambulatoire de la thyroïde devrait augmenter progressivement en respectant, au sein de cette unité de chirurgie ambulatoire dédiée et organisée autour du patient, les protocoles anesthésiques et chirurgicaux établis à partir d’une large expérience et d’une analyse très précise des risques.

Le développement de ce type d’interventions en ambulatoire marque une nouvelle étape dans le déploiement d’une  chirurgie ambulatoire innovante à l’AP-HP.

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Le CHU de Tours met en place des automates innovants pour la délivrance des médicaments
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Crédit photo : CHU de Tours

Ce Mardi 3 juillet 2018, au sein de la Pharmacie (Hôpital Trousseau - Logipôle), la Direction du CHU de Tours et la Direction de son Pôle Santé Publique et Produits de Santé, s'est déroulée la cérémonie d'inauguration du système automatisé de délivrance globale des médicaments du CHU. La mise en place de ces automates innovants permet de sécuriser et centraliser la délivrance des médicaments sur les différents sites du CHU.

Au CHU de Tours, la délivrance des solutés et des dispositifs médicaux est assurée par le logipôle, sur le site de Trousseau, depuis 1999. Aussi, il semblait cohérent d’étendre ce regroupement aux médicaments. Les dispensations spécifiques, la traçabilité et le suivi des médicaments coûteux restant assurés par les pharmacies de site.

L’acquisition d’automates optimise les surfaces de stockage au sein des pharmacies. Elle s’inscrit dans le cadre de la sécurisation de la prise en charge des patients, avec la mise en place d’équipes dédiées à cette activité, sur un seul plateau technique. Elle répond à une volonté forte du pôle de limiter la pénibilité des tâches, dans un secteur qui comprend d’importantes manutentions et de moderniser les tâches pour les personnels.

La pharmacie dispose donc désormais de 3 robots disposant chacun de 2 bras articulés et de 2 prologs permettant l’entrée en stock automatique des boîtes dans les robots. Les boîtes de médicaments sont réceptionnées puis chargées sur les prologs, tapis roulants qui les conduisent devant des lecteurs optiques qui mesurent et identifient chaque boîte grâce à son code datamatrix. Elles sont rangées à l’intérieur des robots par 2 bras articulés en fonction de leur taille et de leur fréquence de sorties. Les boîtes volumineuses ou lourdes (10 % des boites) sont déposées par l’opérateur sur un tapis roulant accessible par la façade du robot puis prises en charge par les bras articulés.

Chaque matin, à 8h, les demandes de service sont analysées par un préparateur en pharmacie hospitalière (PPH) puis lancées dans les robots selon le planning défini avec chaque service. Les bras articulés vont chercher les boîtes, qui sont acheminées à l’aide de tapis roulant jusqu’aux bacs identifiés par service. Les opérateurs robot prélèvent, à l’aide d’une liste, les blisters dans les boîtes, lorsque la dotation est inférieure à la quantité de la boîte, puis rentrent la boite en façade en indiquant la quantité restante. Le bac est transmis à la zone hors gabarit stockant les produits trop volumineux pour être gérés par les robots, pour être complété par un PPH. Les bons d’urgence sont analysés au fil de l’eau par un PPH, puis lancés en priorité dans les robots en identifiant une sortie spécifique des boîtes pour les services de Bretonneau et Clocheville, et une sortie directe au guichet de Trousseau.

La mise en place de ces robots permet d’actualiser les organisations, de sécuriser l’activité, un gain de surface, une diminution de la pénibilité des tâches, d’affecter les préparateurs de Bretonneau et Clocheville à des nouvelles activités adaptées à leurs compétences, et de dégager du temps pharmacien pour renforcer l’activité de pharmacie clinique (validation des prescriptions dans les services de soins...). Enfin, l’automatisation permet le développement de la pharmacie clinique, par le redéploiement partiel de moyens.

Les trois automates achetés sont adaptés aux besoins actuels et à l’évolution prévisible de l’activité, notamment dans le cadre du GHT.

CHIFFRES CLÉS 2018

  •  528.000 euros pour 3 robots et 23.300 euros de coût de maintenance annuelle
  •  50.000 boîtes stockées pour une capacité globale de 70.000 boites
  •  1.410 médicaments gérés dans le robot (165 médicaments non gérés par le robot)
  •  2.500 à 5.000 boîtes rangées par jour
  •  1.500 à 1.800 lignes de demandes traitées par jour
  •  2.000 à 5.000 boîtes délivrées par jour
  •  170 à 250 bons d’urgence traités par jour
  •  80 à 130 UF préparées par jour (jours les plus chargés : lundi et vendredi)
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Le projet hospitalier de Moyenmoutier a été officiellement présenté
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Crédit : Chabanne et Partenaires

Rendez-vous avait été donné mercredi 20 juin à 19 heures à la salle des fêtes de Moyenmoutier pour la présentation de ce projet, par le maître d’œuvre “Rabot Dutilleul Construction”en présence des différents partenaires financiers (Agence Régionale de Santé, Conseil départemental).

En 2021, les hôpitaux de Raon l’Etape et Senones laisseront place à un nouveau Centre Hospitalier. Cette grosse opération consiste à regrouper les sites existants et distants de 14 km, sur un site unique à Moyenmoutier. Actuellement, chaque établissement se compose d'un service de soins, d'hébergement pour personnes âgées dépendantes et d'un service de soins infirmiers à domicile. 

La commune de Moyenmoutier a été retenue pour accueillir le nouvel établissement (ce centre hospitalier intercommunal des cinq vallées), pour sa situation géographique centrale entre les deux établissements existants, sa superficie et sa proximité avec les axes de communication.

Le Centre Hospitalier de Moyenmoutier comprendra 288 lits, dont 50 pour le sanitaire (soins de suite et réadaptation), 238 pour l'EHPAD et un service de soins infirmiers à domicile (SSIAD) de 78 places.
Un accueil de jour de 6 places associé à un pôle d'activités et de soins adaptés (PASA) de 12 places est également prévu. Le PASA est un lieu de vie particulier adapté par rapport au reste de la structure. Il accueille à la journée les résidents de l'EHPAD.

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Crédit : Chabanne et Partenaires

 

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Crédit : Chabanne et Partenaires

Le budget prévisionnel est estimé à 35 M€ financé par des ressources propres, emprunts et subventions (dont 25% du Conseil Départemental ). Le chantier  devrait démarrer en 2019, pour s'achever en 2021. 

Maîtrise d'oeuvre : Rabot Dutilleul Construction / SAS Chabanne et Partenaires/ Ingerop Conseil et Ingénierie/ SAS Satelec/ Pouchain SAS,

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L’appel à candidature est lancé pour le 2ème IA Santé Challenge organisé par le groupe Pierre Fabre. Ce nouveau challenge se tiendra les 4 et 5 juillet prochains à Castres (Tarn) dans le cadre de la 12ème édition de l’Université d’été de la e-santé qui fédère chaque année l’écosystème international de la santé connectée.

IA sante challenge

Le challenge portera de nouveau sur la thématique des cancers de la peau, un sujet au cœur de la mission du groupe Pierre Fabre. D’après le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), une agence rattachée à l’Organisation Mondiale de la Santé, 232.000 cas de mélanome malin sont déclarés chaque année, et 55.000 personnes en meurent. Le groupe Pierre Fabre a fait de la prévention et du traitement du mélanome un axe prioritaire de son développement à travers ses expertises en dermo-cosmétique (prévention par photoprotecteurs), dermatologie médicale (traitement des lésions pré-cancéreuses type kératose actinique) et onco-dermatologie (recherche et développement de traitements des mélanomes sévères). 

Pour s’inscrire au Challenge : http://iasantechallenge.bemyapp.com/

Du dépistage précoce à la prévention du cancer cutané

 En novembre dernier, le 1er IA Challenge Santé avait porté sur la détection des mélanomes à partir de clichés dermatoscopiques de grains de beauté. Pour cette seconde édition, Pierre Fabre a choisi de faire travailler les équipes challengers sur un projet de nouvelle approche algorithmique de cotation des érythèmes solaires. Porté dans le groupe par les équipes cliniques R&D de Pierre Fabre Dermo-Cosmétique, ce projet vise à renforcer les méthodes existantes de détermination des facteurs de protection solaire et ainsi optimiser l’efficacité des futurs photo-protecteurs afin de mieux prévenir les cancers induits par l’exposition solaire[1].

 Agilité numérique, approche partenariale et esprit campus

Pierre Fabre prévoit d’accueillir une quarantaine de data scientists pour ce second hackathon sur la santé, qui prendra place dans les locaux d’ISIS, l’école d’ingénieurs spécialisée en santé située sur le campus universitaire de Castres. Mariant agilité numérique et esprit campus, le Challenge récompensera deux start-ups. A l’issue d’un 24 heures chrono intense, celles-ci auront l’opportunité de présenter leur projet à un jury d’experts de Pierre Fabre, de Microsoft France et d’ETI Keyrus Life Science, prestataire pour Pierre Fabre en data science.  

L’équipe vainqueur recevra un prix de 5000 € et la seconde de 2000 €. Par ailleurs, toutes les start-up intéressées  bénéficieront également si elles le souhaitent d’un accompagnement dans le cadre du programme d’accélération « Inception » proposé par un autre partenaire d’envergure NVIDIA, leader dans l’intelligence artificielle. Le programme d’incubation NVIDIA Inception les accompagnera dans leur développement et leur permettra d’accélérer leur solution IA sur les dernières plateformes GPU et les technologies NVIDIA dédiées au Deep Learning.

Pierre Fabre a choisi le cadre stimulant de l’Université d’été de la e-santé, une manifestation majeure organisée par la Technopole de Castres-Mazamet dont il est partenaire de longue date, pour organiser son second IA Santé Challenge. Bien que la plateforme technique ne soit pas imposée, il renouvelle également son partenariat avec Microsoft qui proposera aux participants un environnement de travail optimal pour faire tourner au mieux les algorithmes : son Cloud Azure doté des processeurs graphiques (GPU) les plus performants que proposent NVIDIA. Lors du hackathon, les équipes seront coachées par les data scientists de Pierre Fabre, de Microsoft et de Keyrus Life Science. Pierre Fabre insiste sur la nécessaire coexistence des bonnes compétences, mais aussi sur la qualité des partenariats pour voir aboutir des solutions viables.

« Ce Challenge va nous permettre de faire un sourcing grandeur nature. »

 

CONTACT ANNONCEUR
NOM & PRÉNOM : Roucoules Valérie
ORGANISME : Pierre Fabre
TÉLÉPHONE : (33) 1 49 10 83 84
DATE : 03-05 juillet 2018 LIEU : Castres

L’Université d’été de la e-santé est le rendez-vous incontournable des professionnels de santé, des industriels offreurs de solutions, des chercheurs, des réseaux de patients…qui va à nouveau rassembler du 3 au 5 juillet 2018 plus de 900 participants, acteurs et décideurs du secteur santé /social et de l’innovation technologique, pour débattre des usages des TIC dans le domaine de la santé et du bien-être.

3 jours pour s’immerger en santé connectée

Pour faciliter les mises en relation avec chacun de ces acteurs, l’Université d’été de la e-santé a mis en place un dispositif global dédié aux rencontres professionnelles avec :

  • La convention d’affaires internationale « e-Health Connection »qui est le lieu de rendez-vous en face-à-face pour convaincre et séduire industriels, professionnels de santé, financeurs… et construire des partenariats,
  • « Invest’e-santé » pour rencontrer les financeurs et investisseurs européens spécialisés en santé numérique,
  • Les « Rendez-vous juridiques » qui permettent de bénéficier gratuitement de conseils juridiques par des experts de la règlementation de la e-santé, de la santé, des données personnelles, …
  • Les « chambres patients connectées » : l’opportunité pour chaque entreprise de mettre en avant ses innovations les plus pertinentes en répondant à l’appel à projets de l’hôpital de Castres,
  • Les Trophées de la e-santé, compétition internationale qui s’organise autour de 9 catégories dont 2 nouveautés 2018 : e-Santé animale et serious game santé.

Une forte visibilité

#TV-esante.com

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  • 88 heures de contenu visionnées en direct
  • 79 pays connectés en 2017
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  • 19.5 millions d’impressions sur Twitter !
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Le chantier du futur hôpital à Riantec va démarrer en septembre
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Crédit : AIA Architectes

Le Groupe hospitalier de Bretagne-Sud l'annoncé : le chantier du futur hôpital à Riantec, près de Lorient, va démarrer en septembre.La phase préparatoire a débuté en fin d'année 2017,  par la création d'un parking provisoire, opérationnel début 2018. (cf notre publication) .

 

Place à présent, en juillet, à la préparation du chantier qui débutera en septembre, avec la réalisation des fondations.

Le projet consiste à reconstruire l'établissement en regroupant l'ensemble de l'activité sanitaire et d'ehpad sur un nouveau bâtiment unique d'une capacité de 45 lits médecine/ssr, 163 lits d'ehpad et 30 lits d'usld à construire. Les chambres, individuelles, seront réparties dans des unités de 15 lits disposées en carrés. 

L'ouverture est prévue début 2021.

"Le coût total des travaux s’élève à 35 000 000 €, dont 4 053 000 € seront subventionnés par le Conseil départemental et 2 000 000 € par l’Agence régionale de santé. « Nous recherchons d’autres subventions. » a fait savoir le Directeur.

Un emprunt sur 35 ans est prévu. Il s’agit du projet le plus important du groupe hospitalier, qui engage également 20 millions d’euros pour le regroupement des trois sites de Quimperlé en un site unique et pour une mise aux normes des conditions d’accueil au Faouët."

La direction garantit le maintien du nombre d’aides soignants. « Seuls les contrats administratifs et techniques seront réduits et réaffectés au sein du groupe hospitalier." selon Ouest-France.

Un projet confié à AIA Architectes.

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10ème édition des Trophées de l’Hospitalisation privée
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Les Trophées de l’Hospitalisation privée récompensent chaque année les initiatives remarquables et innovantes mises en œuvre par les 1 030 hôpitaux et cliniques privés, qui soignent 9 millions de patients par an à travers toute la France.

La 10ème édition des Trophées de l’Hospitalisation privée n’avait pu avoir lieu en décembre 2017 après l’annulation des Rencontres de la FHP. Elle s’est déroulée ce 19 juin 2018 au MEDEF où 9 hôpitaux et cliniques privés ont été distingués pour leurs projets déposés dans les catégories suivantes :

  •  Relations patients
  •  Excellence médicale
  •  Santé connectée
  •  Clinique socialement responsable

« Je suis très heureux et fier de décerner ces Trophées qui témoignent du potentiel d’innovation et de créativité de nos établissements de santé » a déclaré Lamine Gharbi, Président de la FHP. « Chaque jour, nos équipes médicales, techniques et administratives se mobilisent pour améliorer le parcours de santé des patients et honorer notre mission fondamentale : bien soigner. Ces Trophées mettent à l’honneur celles et ceux qui font le soin et illustrent combien notre profession apporte tous les jours sa contribution à l’excellence médicale française ».

Les lauréats et le Trophée Coup de Cœur du Jury ont été sélectionnés parmi près d’une centaine de candidatures déposées, par un jury composé d’experts indépendants et reconnus du secteur de la santé. Jean Leonetti, maire d’Antibes et ancien ministre, actuel président de la Fondation des Usagers du Système de Santé a parrainé cette 10ème édition et a remis le Trophée « Coup de cœur des Jurys ».

Le palmarès 

1. Trophée « Relations patients »

Lauréat : La clinique Lille Sud - Groupe Ramsay Général de Santé (59 - Lesquin), pour le projet « Le patient géolocalisé ». Une technologie innovante de géolocalisation au service des professionnels et de l'accompagnant qui permet de transmettre en temps réel les différentes étapes de la prise en charge et du parcours du patient.

Nominé : L’hôpital privé d’Antony - Groupe Ramsay Générale de Santé (92 - Antony), pour le projet « Un disque horaire pour le parcours des enfants en chirurgie ambulatoire ». Un support pratique, ludique et didactique qui sécurise la prise en charge en ambulatoire pédiatrique en clarifiant les étapes et en guidant simplement les parents et les enfants.

2. Trophée « Excellence médicale »

Lauréat : L’hôpital privé Jean Mermoz - Groupe Ramsay Générale de Santé (69 - Lyon), pour le projet « L’Endomicroscopie Confocale Laser pour le diagnostic des lésions kystiques pancréatiques ». Le diagnostic des lésions kystiques pancréatiques est difficile pouvant conduire à une chirurgie ou une surveillance inappropriée. L’échoendoscopie (EE) censée améliorer les performances diagnostiques de l’imagerie grâce à l’analyse du liquide ponctionné est décevante, la cytologie étant en général non contributive et les dosages biochimiques souvent pris en défaut. L’Endomicroscopie Confocale Laser (ECL), nouvelle technologie permettant une visualisation microscopique in vivo et en temps réel des cellules pariétales du kyste lors d’une procédure de ponction sous échoendoscopie, améliore la prise en charge de ces lésions.

Nominé : La clinique Notre-Dame - Groupe Elsan (57 - Thionville), pour le projet « Objectif sécurité : faîtes preuve d’endurance en jouant avec les vigilances ». Une nouvelle approche ludique et formatrice de la qualité et de la sécurité des soins grâce à un jeu inventé par des professionnels de santé

3. Trophée « Santé connectée »

Lauréat : Clinique du Val d’Ouest (69 - Ecully), pour le projet « Les P’tits Doudous du Val d’Ouest, l’enfant héros de son parcours de soin grâce au serious game ». La clinique améliore l’accueil et le vécu hospitalier des enfants éligibles à une intervention chirurgicale grâce à un support numérique permettant la suppression de la prémédication et une séparation parent-enfant facilitée.

Nominé : Capio Tonkin - Grand Large (69 - Décines), pour le projet « MOEBIUS : une gestion péri opératoire optimisée pour un parcours du patient maîtrisé ». MOEBIUS, un logiciel de maîtrise de parcours de soins centré sur la consultation d'anesthésie. Une cartographie des risques, un plan de soins et la garantie d'applicabilité des référentiels médicaux permettent de systématiser, de personnaliser et de sécuriser la prise en charge des patients.

4. Trophée « Clinique socialement responsable »

Lauréat : La clinique Clémentville - Groupe Oc Santé (34 - Montpellier), pour le projet « Maternité de la clinique Clémentville, une éco-maternité ». La clinique a développé une maternité « nature », éco-responsable, qui prend soin des parturientes, avant, pendant et après la grossesse, préservant ainsi leur santé mais aussi celle des générations futures. 

Nominé : Le groupe de santé Victor Pauchet (80 - Amiens), pour le projet « La deuxième crèche du groupe santé Victor Pauchet a obtenu le label Origine France Garantie ». Le groupe a créé la Crèche Phileas-Les Robinsons dans le cadre d’une démarche de responsabilité sociale et éco-sociétale ambitieuse, apportant une réponse élevée et exigeante aux besoins des jeunes parents travaillant dans le domaine de la santé et de leurs enfants, et en réalisant le premier projet de crèche française labellisée Projet Origine France Garantie ® en coopération avec Pro France et les entreprises du territoire.

5. Trophée « Coup de cœur des jurys » Attribué à Clinalliance Villiers-sur-Orge (91 - Villiers-sur-Orge), pour le projet « Rééducation de la marche et objets connectés ». Pour son évaluation d’un dispositif innovant de semelles connectées analysant la qualité de la marche et permettant une auto-rééducation chez des patients ayant une sclérose en plaque.

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Feu vert pour la construction d’un nouvel hôpital à Saclay
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Crédit photo : GHNE

La Ministre des Solidarités et de la Santé a donné son accord pour la construction d’un hôpital neuf sur le plateau de Saclay, et a attribué un montant d’aides de 65M€ à l’appui du projet. L’avis favorable qui avait été formulé par le COPERMO le 30 mai 2018 a donc été suivi sur ce dossier, dont la mise en oeuvre permettra « de moderniser et d’adapter l’offre de soins publique, et d’anticiper les mutations démographiques attendues sur le territoire ». Le projet comporte deux volets complémentaires et indissociables : la transformation de l’offre de soins publique dans le Nord-Essonne et la construction d’un nouvel hôpital de soins aigus sur le plateau de Saclay en remplacement des trois sites actuels du GHNE à Longjumeau, Orsay et Juvisy. 

Le nouvel hôpital de 416 lits et places, résolument tourné vers l’ambulatoire et les pratiques médicales innovantes, prendra en charge approximativement le même nombre de séjours hospitaliers qu’actuellement. Au besoin, il a été conçu pour pouvoir être rapidement étendu de 63 lits supplémentaires. De très hauts standards de fonctionnalité, de confort et de qualité environnementale seront atteints dans cette structure neuve de 45 000m², construite sur un terrain de la ZAC de Corbeville.

La mise en œuvre de cette réorganisation d’ampleur a débuté avec la fusion en 2016 et 2017 des 3 établissements et s’achèvera en 2024 à l’ouverture des derniers services du nouvel hôpital. Une première pierre est attendue dès l’automne 2018

Les ambitions du GHNE sont élevées sur l’ensemble des axes du projet. Une cible de performance maximale est recherchée en termes de qualité de prise en charge, d’accès aux soins, de confort, d’organisation des soins, de fluidité du parcours et d’innovation.

Le pari retenu est celui d’un séquençage des fonctions (ambulatoire - médicotechnique - hébergement) très net et formalisé dans l’architecture même du bâtiment, qui se veut compact. Les flux, exigences et contraintes du futur bâtiment de 5 étages ont été dessinés au fil des mois lors de multiples groupes de travail utilisateurs. Ils sont formalisés au sein du projet technique détaillé qui servira de support à l’architecte que le GHNE sélectionnera à l’issue d’un appel d’offre à paraître au 1er semestre 2019.

La conception même du futur bâtiment et ses liaisons fonctionnelles d’hospitalisation ont été pensées autour d’unités d’hébergement de 15 lits, regroupées en plateaux de 45 lits. Cette organisation, particulièrement efficiente, facilitera la prise en charge pluri-disciplinaire des patients qui y seront hospitalisés. Les lits de médecine de l’établissement seront quasi-intégralement polyvalents, et non affectés à des spécialités comme c’est le cas actuellement. Le parcours de soins du patient sera fluidifié par la venue à son lit, des compétences médicales et paramédicales que sa situation exige, indépendamment de son lieu d’hébergement.

Cette organisation sera favorisée par un niveau de connexion et d’informatisation maximal des unités. Doté d’un système d’information hospitalier et de techniques de l’information et de la communication (TIC) performants, l’hôpital se fixe l’ambition d’être « zéro papier ».

Les nouveaux locaux et les organisations innovantes mises en place permettront d’assurer la prise en charge d’un nombre de patients quasi-identique à la situation actuelle dans ce bâtiment de 416 lits et places.

Les flux logistiques médicotechniques et hôteliers seront également optimisés, et très fortement automatisés. Le futur hôpital sera notamment équipé de transports automatiques lourds, de distributeurs de vêtements, d’un réseau pneumatique : ces équipements constituent un levier central de réduction de la pénibilité au travail.

Enfin, le nouvel hôpital, qui vise la certification NF Bâtiments Tertiaires - Démarche HQE® adaptée aux établissements de santé, se veut exemplaire au plan environnemental. Cette approche citoyenne sera par ailleurs source d’économies au plan thermique et énergétique. Un hôpital ancré dans l’environnement du plateau de Saclay.

L’hôpital a la volonté de s’intégrer pleinement dans l’éco-système de recherche et d’innovation du plateau. En profitant de la présence sur place d’un réseau de start-up, d’écoles d’ingénieurs et d’industriels, le GHNE travaille à la création d'un « living lab » qui jouera le rôle d’incubateur, notamment pour les projets de médecine connectée.

Le partenariat actuel avec le Commissariat à l’Energie Atomique, dont le service hospitalier Frédéric Joliot (SHFJ) est installé dans l’enceinte de l’hôpital d’Orsay depuis 1958, sera maintenu. Un bâtiment de recherche s’installera sur une parcelle contiguë au GHNE et reliée par une galerie sous-terraine. Cette solution garantira un accès direct des patients hospitalisés aux examens de médecine nucléaire, et permettra également au GHNE de continuer à bénéficier d’équipements exceptionnels, comme la TEP IRM.

Enfin, une offre particulière à destination des étudiants du plateau sera proposée au sein même de l’hôpital. Un centre de santé, installé dans le Pôle ambulatoire et bénéficiant d’un accès privilégié au plateau technique, sera géré par la Fondation Santé des Etudiants de France.

Le corollaire indissociable de la construction du nouvel hôpital est la définition d’un maillage territorial repensé, assis sur des structures innovantes. A ce titre, des centres de consultations et soins urgents (CCSU) seront installés sur les communes de Longjumeau, de Juvisy et de Sainte-Geneviève-des-Bois.

Ils seront les antennes ambulatoires de l’hôpital de Saclay, réparties sur le territoire et donneront accès à une offre de consultations d’urgence à 30 000 patients par an et par centre, grâce à une présence médicale et infirmière et à un plateau technique adapté.

Un accès à une offre de spécialité (médecine, chirurgie et suivi de grossesse) sera assuré grâce à l’organisation de consultations avancées dans ces locaux. Enfin un lien permanent sera assuré avec l’hôpital de Saclay, grâce à un déploiement de télé-médecine et de systèmes d’information adaptés.

Ce projet, élaboré en concertation avec l’ARS, sera mis en œuvre en lien avec la médecine libérale et les établissements de santé volontaires du territoire, publics ou privés. Un premier centre expérimental est en fonctionnement à Longjumeau depuis décembre 2017. Il a d’ores et déjà pris en charge 7 000 patients et donne entière satisfaction.

Date de publication
Retour sur la Paris Healthcare Week 2018, le salon français du monde hospitalier
Zone géographique
France
Crédit photo : HOSPIHUB

La Paris Healthcare Week qui a fermé ses portes le 31 mai dernier a confirmé son statut de rendez-vous immanquable pour tout l’écosystème de la santé. L'édition 2018 s’avère très positive avec 28 517 visiteurs professionnels et 850 exposants français et étrangers.

Une programmation à la hauteur de l’événement, de sa renommée et de son influence : Avec encore plus d’innovations présentées, de partenaires français et internationaux prestigieux et de personnalités inspirantes, la Paris Healthcare Week a dépassé tous ses objectifs et rassemblé près de 30 000visiteurs en trois jours, dont 18 072 pour HopitalExpo, GerontHandicapExpo et le Salon HIT, 9 350 pour le Salon Infirmier et 1 095 participants pour le Séminaire annuel du Groupe Santé Public de l’Union Internationale des Architectes.

En 2018, la Paris Healthcare Week a présenté, pour l’hôpital et le secteur médico-social, les dernières innovations qui permettront de répondre aux grands enjeux de la santé parmi lesquels :

  • l’amélioration de l’organisation hospitalière,
  • toutes les innovations qu’elles soient techniques, managériales ou organisationnelles,
  • l’optimisation du parcours de soins,
  • le déploiement de la télémédecine,
  • les relations entre la ville et l’hôpital,
  • le virage ambulatoire et la HAD,
  • l’essor de l’intelligence artificielle,
  • l’évolution rapide et importante du profil des résidents des Ehpad,
  • le contrôle de la consommation énergétique des établissements de santé

… et la place désormais centrale du patient dans son parcours de soins !

 

Pour HOSPIHUB, ce fut l'occasion, comme chaque année, d'échanger avec de nombreux lecteurs, et de faire découvrir notre media sur grand écran aux autres. Les visiteurs ont pu accéder en exclusivité à des extraits de la prochaine publication de "Comprendre et concevoir le bloc opératoire", de Patrick Breack. 

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Table des matières, plan, photos de bloc opératoire ancien et moderne, illustrant des extraits se côtoyaient et intriguaient. 

Point de ministre sur notre stand, mais des visiteurs venus de loin, et personnalités toujours appréciées :

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Monsieur Pascal Forcioli, Directeur du CH Bastia

 

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Monsieur Lamine Gharbi, Président de la FHP

 

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Des lecteurs du CHU de la Réunion

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