En transférant toutes les activités de soins de la Clinique du Mail, jusqu'alors située dans le centre-ville de La Rochelle, sur le site de la Clinique de l’Atlantique - établissement de Médecine-Chirurgie-Obstétrique (MCO) et de Soins de Suite et de Réadaptation (SSR) - à Puilboreau, le groupe d'hospitalisation privée Ramsay Santé regroupe son offre de soins sur un seul et unique site plus moderne et plus accessible.
"L’objectif de ce regroupement est de proposer aux patients une prise en charge globale et pluridisciplinaire sur un même site dans les meilleurs délais, tant pour des consultations courantes que pour des actes médicaux complexes ou le suivi de maladies chroniques" précise le communiqué.
La nouvelle Clinique regroupe l’offre de soins initiale de la Clinique de l’Atlantique, complétée par les spécialités de la Clinique du Mail. Au total, ce sont 23 spécialités qui sont désormais proposées sur un seul et unique site par 140 praticiens*.
"Notre ambition est de proposer une offre de soins diversifiée et de qualité permettant de s’adapter à chaque patient, à chaque étape de son parcours. Ce regroupement nous permet également de renforcer notre plateau technique afin d'être davantage attractif pour le recrutement de nouveaux praticiens."
Lionel Tirefort, Directeur de la Clinique de l’Atlantique
Le nouvel établissement bénéficie d’un ensemble de 20 salles de blocs opératoires entièrement rénovées, d’une salle de réveil spacieuse et ergonomique, d’une stérilisation toute neuve et de 135 lits et places.
Par ailleurs, afin de faciliter l’accès à l’établissement, plus de 50 places de parking ont été créées, portant à 423 la capacité d’accueil du parking. Une cinquantaine de places supplémentaires seront disponibles en début d’année 2021.
* : Anesthésie-Réanimation, Assistance médicale à la procréation, Biologie médicale, Cardiologie, Centre de sénologie – Maladie du Sein, Chirurgie maxillo-faciale – stomatologie, Chirurgie plastique reconstructrice et esthétique, Chirurgie orale, Chirurgie orthopédique et traumatologique, Chirurgie urologique, Chirurgie vasculaire, Chirurgie viscérale et digestive, Dermatologie, Gynécologie, Hépato-gastro-entérologie, Kinésithérapie, Médecins généralistes – Maison médicale, Neurochirurgie, Ophtalmologie, ORL – Chirurgie de la face et du cou, Pneumologie, Radiologie, Soins de Suite et de Réadaptation.
Communiqué du 26/08/2020 : "Les dernières évolutions de la situation sanitaire liée à la pandémie du COVID-19 ont de nouveau contraint le Premier Ministre le 13 août 2020, par la publication d’un décret, à interdire la tenue d’événements de plus de 5 000 personnes et ce jusqu’au 30 octobre 2020.
Dans ce contexte de force majeure, la Fédération hospitalière de France et nous-même, sommes au regret de vous annoncer, l’annulation de l’édition 2020 sous le format actuel de SANTEXPO et du Salon Infirmier & JNIL, du 7 au 9 octobre 2020 à Paris Expo – Porte de Versailles.
A moins de 2 mois des manifestations, l’annulation des salons est une immense déception pour toutes les équipes et parties prenantes engagées depuis plus d’un an dans l’organisation de ces rendez-vous majeurs pour tous les acteurs de la Santé.
Conscient toutefois de la nécessité de communiquer et d’échanger, PG Organisation, avec le concours de la Fédération hospitalière de France, étudie cette année, une version digitale des salons : « SANTEXPO Live » et « Salon Infirmier & JNIL live »
L’objectif étant, dans ce contexte particulier, d’une part, de maintenir les échanges et l’interactivité entre les différents acteurs des salons et, d’autre part, de continuer à tenir informé de toutes les innovations de ces derniers mois.
Nous reviendrons donc vers vous dans les prochaines semaines pour vous présenter plus en détail cette édition 100% digitale des deux salons qui se tiendront sur le dernier trimestre 2020.
Encore merci pour votre confiance.
Cordialement,
La Fédération hospitalière de France
La direction de PG Organisation"
N.B. : Partenaire média de cet événement majeur des acteurs de la Santé en France depuis 2013, notre plateforme Hospihub est solidaire de la déception des organisateurs, des exposants et des visiteurs.
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Un 40ème établissement rejoint le Groupe VIVALTO SANTÉ qui poursuit sa croissance dans une nouvelle région, la Picardie (Hauts-de-France), indique un communiqué de presse du 17/07/2020.
Après avoir renforcé début 2020 son implantation en Normandie avec l’acquisition du Groupe Mathilde Médical Développement (deux cliniques à Rouen et Evreux et deux centres de radiothérapie) et en Nouvelle Aquitaine avec la clinique Pasteur à Royan, le Groupe VIVALTO SANTE acquiert la clinique de l’Europe à Amiens.
La clinique de l’Europe, établissement du pôle de santé privé d’Amiens, est un établissement de référence reconnu en médecine, pneumologie, gastro-entérologie et cancérologie. Cette acquisition s’inscrit pleinement dans la stratégie du groupe de développer des projets médicaux d’excellence en lien étroit avec l’ensemble des professionnels de santé du territoire afin de répondre au mieux aux attentes de la population concernée.
Le Groupe VIVALTO SANTE, 3ème acteur privé national, se différencie par son modèle original de gouvernance partagée, la « Troisième Voie », dans lequel actionnaires, médecins et investisseurs financiers sont parties prenantes des réflexions et décisions stratégiques. L’intégration de la clinique de l’Europe se fera dans cette dynamique propre au groupe.
LA CLINIQUE DE L’EUROPE EN QUELQUES CHIFFRES : Etablissement de référence du territoire de santé en cancérologie, hépato-gastroentérologie et pneumologie, la Clinique de l’Europe c’est
- 8,3 millions de chiffre d’affaires
- 16 praticiens libéraux et 2 praticiens salariés
- 86 salariés
- 38 lits en hospitalisation médicale court séjour (dont 23 lits d’hépato-gastroentérologie et de pneumologie, 15 lits d’oncologie dont 4 en soins palliatifs et 6 lits en unité de surveillance continue)
- 18 places en chimiothérapie ambulatoire
- 12 places en chirurgie ambulatoire (service dédié exclusivement à l’endoscopie digestive et bronchique)
- 8 800 séances en chimiothérapie
- 6 600 séjours dont 3 500 en ambulatoire
Activités principales : gastro-entérologie, endoscopie digestive et bronchique, pneumologie, polysomnographie, oncologie, chimiothérapie, immunothérapie, soins palliatifs …
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Unicancer - Fédération hospitalière nationale dédiée à la cancérologie- a relayé le 10 juillet dernier dans l'actualité du Centre François Baclesse, la réception d'importantes opérations d'investissements. Ainsi, le service de Radiologie a été totalement rénové et le service de Médecine nucléaire a actualisé l’équipement de son laboratoire de préparation des radiopharmaceutiques. De plus, le plateau dispose de trois nouveaux équipements de dernière génération (deux scanners et une gamma caméra hybride).
Situé au rez-de-chaussée, le service de radiologie a ouvert le 8 juin 2020 après 1 an et demi de travaux. Pendant ce temps, l’ensemble de l’activité de radiologie (sauf l’IRM) a été délocalisée dans d’autres services du Centre, pour assurer la continuité des soins.
Le service de Radiologie a été restructuré pour obtenir un service beaucoup plus fonctionnel :
- Amélioration de l’accueil des patients,
- Optimisation des flux de circulation des patients et des professionnels,
- Développement de l’activité de radiologie interventionnelle, grâce à l’implantation d’un 2e scanner, dans des locaux en milieu contrôlé et dans des conditions identiques à celles d’un bloc opératoire.
Les nouvelles techniques de radiologie interventionnelle utilisées dans ce service sont :
- Le traitement par le froid des tumeurs (destruction par cryoablation)
- Le traitement par le chaud des tumeurs (destruction par radiofréquence),
- La consolidation osseuse par cimentoplastie ou spondyloplastie.
Le service de radiologie dispose désormais d’un plateau technique composé de :
- 1 scanner de diagnostic Philips Incisive CT (2020)
- 1 scanner partagé Siemens Confidence RT Pro (2020)
- 1 IRM Aéra ‐ Siemens (2017)
- 1 table de radiologie numérique Stephanix Evidence (2011)
Ouverture d’un 2e scanner partagé en septembre 2020
Ce deuxième scanner implanté dans le service de Radiologie est un scanner Siemens Confidence RT Pro. Il sera partagé entre les services de Radiologie et de Radiothérapie, avec une activité dédiée :
- 30 % à la radiologie interventionnelle,
- 40 % à la radiologie de diagnostic (suivi et prise en charge des nouveaux patients),
- 30 % à la radiothérapie (pour les scanners de mise en traitement de protonthérapie). L’ouverture de ce 2e scanner permet de réduire les délais d’attente pour l’obtention d’un rendez‐vous de scanner, de développer l’activité de radiologie interventionnelle qui nécessite un scanner de dernière génération, tout comme la mise en traitement pour de la radiothérapie par protonthérapie.
« Grâce aux travaux de rénovation de l’ensemble du service de Radiologie et à l’investissement dans de nouveaux équipements, nos professionnels bénéficient d’un service de pointe permettant d’accueillir les patients dans des conditions optimales de confort, de qualité et de sécurité. Nous nous sommes équipés d’un deuxième scanner permettant la réalisation d’images indispensables pour cibler précisément le traitement par radiothérapie. Nous pouvons également réaliser des techniques innovantes de radiologie interventionnelle permettant le traitement de certaines tumeurs sous scanner, évitant ainsi une intervention chirurgicale. » a déclaré le Dr Joëlle Lacroix, Chef de service de Radiologie.
Et bientôt, l’ouverture du nouveau service de Sénologie
L’unité de Sénologie, qui dépend du service de Radiologie, est actuellement en travaux de rénovation et d’extension. Elle ouvrira en octobre 2020, avec de nouveaux équipements et une nouvelle organisation.
Les nouveautés en Médecine nucléaire
Le service de Médecine nucléaire réalise des examens à des fins diagnostiques (les scintigraphies et TEP scans) ainsi que des traitements (radiothérapie interne vectorisée) à l’aide de différents produits radioactifs administrés aux patients. L’imagerie moléculaire permet ainsi d’explorer des organes, des tumeurs ou des voies métaboliques spécifiques. Le service de Médecine nucléaire totalement rénové fin 2017 dispose désormais d’un plateau technique composé de :
- 1 TEP‐Scanner numérique Vereos Philips (2017)
- 3 gamma caméras, qui détectent les rayonnements gamma émis par les éléments radioactifs et forment une scintigraphie (image de leur répartition dans l’organisme) : 1 caméra BRIVO GE (2016), 1 caméra Symbia T2 Siemens (2010) couplée à un scanner X de repérage ,1 nouvelle caméra Siemens INTEVO Bold couplée à un scanner X de repérage (Installée en juin 2020)
- Un laboratoire de préparation des radiopharmaceutiques réaménagé (Avril 2020)
Une nouvelle gamma caméra hybride Symbia INTEVO
Cette nouvelle gamma caméra de dernière génération remplace un équipement mis en service en 2006. Ses principales caractéristiques sont :
- Le couplage avec un scanner de repérage de haute résolution (meilleure qualité)
- La production directe d’images gamma de très haute définition permettant des interprétations plus fines, avec une meilleure visualisation des lésions.
- La délivrance de doses les plus basses possible aux patients, avec des scans plus rapides.
Un nouveau laboratoire « chaud » de radiopharmacie
Mi‐avril 2020, un nouveau laboratoire chaud est entré en service. Dédié au stockage, à la production et au contrôle des médicaments radiopharmaceutiques (cf le schéma 1), il est équipé de :
- deux nouvelles enceintes blindées de classe A (appelées également boîtes à gants) permettant aux radiopharmaciens de manipuler les radioéléments en étant protégés des radiations. Ces enceintes, plus épaisses permettent de travailler dans de très bonnes conditions de radioprotection, tout en assurant un respect optimal des normes d’hygiène lors de la préparation des doses‐patients.
- un générateur de Gallium‐68 pour la préparation de radiotraceurs de nouvelle génération pour le PET‐ Scan, comme le DOTATOC (SOMAKIT‐TOC ®). Ce générateur a une durée de vie d’1 an (Mars 2020)
N.D.L.R : Tous les crédits photo : Centre François Baclesse
Le Centre Cardiologique d’Evecquemont a ouvert son nouveau service de scanner le 2 juin 2020, nous apprend le Groupe Vivalto Santé par un communiqué du 15/06/2020. Ce service est équipé du Scanner « Revolution CT 256 » de chez General Electric avec comme spécificité la possibilité de faire des coro-scanner, des scanners vasculaires et des scanners plus classiques. Cet équipement, très attendu par la communauté médicale comme par les patients, a pour objectif de poursuivre la structuration de l’offre de santé sur Evecquemont et les Yvelines.
En s’équipant d’un scanner dernière génération, le Centre Cardiologique d’Evecquemont fait le choix de l’innovation au service du confort des patients et des équipes. Les examens sont plus rapides et offrent un environnement plus confortable aux patients tout en réduisant l’exposition au minimum. Désormais, les patients pourront réaliser leurs examens sur site, leur évitant de se déplacer entre établissements. L’objectif est d’offrir un accès à une technologie de pointe et de participer à la qualité de prise en charge des patients du territoire.
Crédit photos : Vivalto santé
Le Centre Cardiologique d’Evecquemont est principalement orienté vers la prise en charge des pathologies cardiovasculaires. Il offre également une prise en charge diagnostique des troubles du sommeil. Un pôle de gériatrie en soins de suite a ouvert en novembre 2018. Le Centre accueille chaque année plus de 5 000 patients.
Doté d’une capacité de 194 lits et places, le Centre Cardiologique dispose d’une filière de soins complète:
- accueil 24h/24 des soins intensifs cardiologiques,
- un bloc de cardiologie interventionnelle assurant 24h/24 les coronarographies et les dilatations coronaires et périphériques (pose de stents), pose et renouvellement de pacemakers,
- un centre diagnostic (échographie cardiaque, doppler, épreuve d’effort, échographie transoesophagienne, etc…),
- des consultations spécialisées (cardiologie, pneumologie, diabétologie, gériatrie),
- un service d’hospitalisation de cardiologie aigüe,
- une unité de dépistage des troubles du sommeil
- et un pôle de réadaptation cardiaque en hospitalisation complète ou en hôpital de jour.
Les entreprises et équipementiers, sous la houlette de l'agence A+Architecture* s'affairent encore pendant quelques semaines, pour livrer au Groupe CAP Santé son dernier fleuron : la nouvelle clinique Saint-Jean, à Saint-Jean-de-Védas, dans la périphérie de Montpellier.
Lamine Gharbi, Président du Groupe Cap Santé a pris la décision de déménager la clinique quelques semaines après son rachat par le groupe Cap Santé, en juillet 2011. Ce projet a pour objectif d’implanter le groupe au sud-ouest du département, à l'entrée de la ville Saint-Jean-de-Védas, accessible dès la sortie d’autoroute. Une période de 6 années a été nécessaire pour rendre constructible le terrain choisi, disposer des accords de transfert et assurer la construction.
Le nouveau bâtiment est composé d’un pôle médical et de la nouvelle clinique, soit un total de 34 000m2. Le budget global consacré à l’ensemble est de 100M€ HT. Le budget d’investissement Cap Santé est de 86 M€ HT, dont 52 M€HT de travaux.
Plan de masse - Crédit : A+ Architecture
Le programme de la clinique consistait en la construction d’une clinique avec 251 lits et places en base, extensible à 343 lits et places, comprenant :
– des unités d’hébergements & ambulatoires, ainsi qu’un service de réanimation répartis ainsi :
- 70 lits de médecine et soins palliatifs
- 50 lits de Chirurgie
- 8 lits de réanimation et 8 lits de soins continus
- une unité spécifique pédiatrique de 28 lits
- 54 lits ambulatoires
– un service d’urgence (avec zone spécifique pédiatrique) de 845 m² ;
– un service imagerie de 960 m² ;
– un bloc opératoire comprenant 24 salles extensibles à 30 salles (21 salles ISO 5 et 3 salles d’endoscopie ISO 7) ;
– des services annexes (oncologie, consultations, stérilisation, pharmacie, administratif, restauration, admissions, logistique) ;
– un parking extérieur de 300 places pour le public et un parking en sous-sol de 140 places pour le personnel.
Crédit photo : Hospihub
Notre rédaction a été invitée à visiter la clinique il y a quelques jours, et c’est peu dire que la première impression est très réussie. Après les présentations faites par les architectes, le chef de projet et le maître d’ouvrage, nous avons entamé la visite de ce chantier qui est en phase finale. Arrivé par l’entrée depuis le parking, l’utilisateur découvre le hall traversant de part en part le bâtiment, baigné de lumière.
Crédit photo : Hospihub - Gilles Gal Directeur de Travaux ( A+Architecture), Philippe Cervantes de A+Architecture, Lamine Gharbi, Pdt du Groupe Cap Santé, Laurent Ramon Directeur de la Clinique Saint-Jean
Crédit photo : A+Architecture
À gauche se trouvent les admissions, puis l’accueil. Une grande verrière centrale traverse les trois étages, et éclaire le hall végétalisé. La clinique propose une seconde entrée, située depuis la place de l’Europe.
Crédit : A+Architecture
Le corps du bâtiment se distingue par sa forme incurvée en forme de X, créant ainsi deux aires d’accès avec des fonctions propres : au sud, l’arrivée des urgences et le dépose-minute, au nord, la cour logistique à usage du personnel uniquement.
Le bloc opératoire (R+2) réunit d’un seul tenant 24 salles d’opération adossées à deux unités d’hébergement ambulatoire. Au-dessus de ce socle, 8 ailes d’hébergement (R+3 et R+4) achèvent de donner au bâtiment une forme de chromosome X.
Pas de sas individuel pour les salles d’opérations, chacune pouvant être utilisée à tout moment par chaque chirurgien, toutes spécialités confondues. Le traitement d’air y est donc prévu en ISO 5.
Crédit photo : Benoît Wehrlé
Crédit photo : Benoît Wehrlé
Côté hébergement, les chambres sont spacieuses, et lumineuses. Les patients V.I.P. pourront profiter de salles de bains en marbre, et demander si nécessaire des chambres communicantes, ce qui est assez rare pour un établissement hospitalier en France.
L’étage technique pour un établissement de cette taille est, comme on s’y attendait, très impressionnant.
Crédit photo : Hospihub
Crédit photo : Hospihub
Une passerelle surplombant la rue des Jasses permet de relier la Clinique Saint Jean au pôle des consultations médicales situé en vis-à-vis et regroupant une centaine de médecins.
Crédit photo : Hospihub
Crédit photo : Hospihub
L’architecture du pôle de consultations a été confiée à Bonnet-Teissier Architectes, qui a opté pour une structure rappelant un riad, à ciel semi-ouvert, sur des plantations d’eucalyptus. Il est construit en R+4, avec parking extérieur public et en sous-sol pour le personnel. Le pôle comprend une quarantaine de cabinets médicaux regroupés par spécialités : des unités de laboratoire, ophtalmologie, cardiologie, pneumopathie et médecine, dermatologie…. Un cabinet de radiologie, des unités de chirurgie vasculaire, digestive, pédiatrie, urologie, plastique), un cabinet de médecine du sport, un service de rééducation des membres inférieurs et du rachis, ou encore un centre de l’obésité.
Crédit photo : Cap Santé
Entamé en janvier 2018 par la dépollution du terrain et le démarrage du gros œuvre, le chantier n’a jamais été à l’arrêt pendant le confinement dû au Covid-19. Les équipes, très restreintes se sont étoffées au fur et mesure tout en appliquant les mesures sanitaires. La livraison de l’ensemble (hormis la salle de conférence située à l’extérieur) est ainsi annoncée pour les derniers jours du mois d’août.
Crédit photo : Hospihub
Le dossier de presse n’est pas avare de données techniques chiffrées. Nous reprenons ci-après celles de la clinique, car il s’agit d’indicateurs intéressants pour les porteurs néophytes de projet hospitalier qui peuvent ainsi avoir un aperçu de ces aspects :
FLUIDES MÉDICAUX : La longueur des réseaux de fluides médicaux en cuivre est de 32 km.
ÉQUIPEMENTS ET DISTRIBUTION ÉLECTRICITÉ
- 2 transformateurs Clinique de 2500 kVA
- 1 transformateur Imagerie de 630 kVA
- 2 groupes électrogènes de 2500 kVA et 200 kVA
- 140 tableaux électriques
- 4 700 luminaires
- 6 700 prises de courant
- 3 500 prises informatiques
- 1 500 points SSI
- Chemin de câbles : 8 km
- Câble informatique : 180 km
- Câble cuivre/alu : 280 km
TRAITEMENT D’AIR : 40 km de réseaux hydrauliques
SURFACES
• Surfaces de façades : 9 156 m²
• Total de surfaces vitrées : 2 450 m² de verre pour châssis divers et 1000 m2 de murs rideaux et verrières
• Surfaces de plancher : 25 327 m²
• Surfaces cloisons : 20 000 m²
BÉTON
Le poids propre du bâtiment en béton seul est de 40 000 Tonnes.
Le poids des revêtements, cloisons, équipements, etc., est de l’ordre de 6 000 Tonnes.
• Soit un poids total de 46 000 Tonnes.
ÉTANCHÉITÉ
7 500 m2 de toitures étanchées
EXTÉRIEURS
Espaces verts : 4 560 m² Nombre d’arbres : 258 arbres
RÉTENTION D’EAUX PLUVIALES
Volume de rétention d’eau : 2 600 m3
Crédit : A+Architecture
LE GROUPE CAP SANTE :
Le groupe Cap Santé est un Groupe Privé Régional d’Établissements de Soins de Proximité, acteur de santé majeur de la région. Il comporte aujourd’hui 18 établissements, organisés en filières, avec des cliniques chirurgicales, une clinique psychiatrique, un service d’hospitalisation à domicile, des établissements de soins de suite et de réadaptation, des EHPAD (Établissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes), une crèche ainsi que des sociétés d’ambulances et un service de télémédecine.
L'ÉQUIPE DE MAÎTRISE D’ŒUVRE DU PROJET CLINIQUE :
- *Architecte mandataire A+Architecture (Fondé à Montpellier il y a une trentaine d’années, le Groupe A+ est aussi implanté à Paris et Toulouse. Il compte aujourd’hui 90 membres : architectes, urbanistes, ingénieurs
- Architecte associé Stéphane Goavec
- Maîtrise d’œuvre d’exécution / OPC A+Architecture …
- Ainsi que tous les BET.
- 28 entreprises participent à la réalisation.
ASSISTANT MAÎTRE D’OUVRAGE : Icade Promotion
Nous vous invitons également à visionner la vidéo ci-dessous :
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Lors d’une conférence de presse qui s’est tenue mercredi 17 juin, Lamine Gharbi, le président de la Fédération de l'hospitalisation privée (FHP) et Christine Schibler, la déléguée générale de la Fédération, ont dévoilé un certain nombre de propositions pour l’avenir de la santé dans un document intitulé « Acteurs de santé et Français : une volonté commune, un horizon partagé ! Apres la crise, les propositions de l’hospitalisation privée pour l’avenir de la santé ». Ces propositions sont formulées dans le cadre du « Ségur de la Santé », la concertation des acteurs de santé à laquelle la FHP participe activement
« Notre contribution au Ségur de la Santé est bâtie selon une ligne directrice : la prise en considération des attentes des citoyens qui font écho aux demandes des acteurs de santé » explique Lamine Gharbi. « Aujourd’hui, le moment est venu de tirer les enseignements de la crise sanitaire pour reconnaître la santé comme un secteur stratégique, source d’emplois et de richesses. Dans le contexte économique et social fragilisé de notre pays, nous souhaitons avancer des propositions concrètes, pour donner toute sa place au secteur sanitaire grâce à une gouvernance territoriale rénovée, un choc d’attractivité pour les métiers du soin, davantage de simplification et un financement qui réponde aux grands enjeux de santé publique ».
La contribution de la FHP est organisée autour de cinq axes majeurs :
- 1. Unir toutes les forces autour d’un même objectif : la santé des Français
- 2. La santé, secteur d’activité d’avenir pour le pays
- 3. La santé, un investissement à sanctuariser pour la Nation
- 4. Identifier les enjeux de santé publique et y répondre
- 5. Une organisation et une régulation tournées vers l’efficacité
1- Unir toutes les forces autour d’un même objectif : la santé des Français. 88 % des Français font confiance aux cliniques privées et 85 % aux hôpitaux publics. (sondage Viavoice mai 2020) 91 % des Français estiment que la collaboration public-privé a été « une bonne chose » et 77 % estiment qu’elle doit être organisée en permanence.
La crise sanitaire a montré qu’il est temps de changer la façon de gérer la santé et de répondre enfin à l’attente des Français en cherchant à galvaniser toutes les énergies plutôt que de les opposer. La première leçon à tirer de la crise est la nécessaire unité de tous les acteurs du système de santé. C’est elle qui a permis à notre système de santé de tenir le choc.
Pour pérenniser et consolider cet élan, la FHP fait une série de propositions concrètes pour une meilleure gouvernance du système de santé :
• Mettre en place une « démocratie territoriale de santé » qui associe les élus territoriaux (maires, régions, départements) autour de tous les acteurs de santé. Les élus sont en prise avec les attentes de la population.
• Conforter et recentrer les ARS sur leur rôle de régulation Il faut lever la confusion liée à leur rôle de régulateur et de gestionnaire du secteur public hospitalier.
• Passer d’une logique de statut à une logique de missions (ex mobilisation commune des acteurs publics et privés dans la crise) avec la mise en place d’un service territorial de santé qui regroupe les établissements de santé et médico-sociaux de tous statuts, ainsi que les acteurs des soins non programmés.
2-La santé, un secteur d’activité d’avenir pour le pays 55% des Français estiment que la revalorisation des professionnels de santé est une priorité. Alors que l’économie de la France est éprouvée et qu’il faudra de très longs mois pour retrouver le chemin de la croissance, le secteur de la santé offre un potentiel de plus de 100 000 nouvelles embauches de professionnels. Encore faut-il qu’elles soient attractives. Pour la FHP, les revalorisations salariales doivent s’accompagner d’une série de mesures financières fortes comme la suppression de la taxe sur les salaires et surtout une équité de traitement entre les professionnels de tous secteurs.
Par ailleurs, les enjeux d’attractivité résident également dans une politique ambitieuse de gestion des carrières sanitaires qui doivent être dynamiques et évolutives, grâce à un vrai investissement dans la formation :
• Financer les revalorisations salariales par l’ONDAM en traitant équitablement les secteurs hospitaliers.
• Revaloriser les soignants du privé : une revalorisation de 300 € nets mensuels aux 113 850 soignants de l’hospitalisation privée représenterait 825 millions d’euros annuels, soit 5,5% d’ONDAM supplémentaires.
• Supprimer la taxe sur les salaires pour financer une partie de cette politique salariale (474 M € pour le privé).
• Face à la pénurie, augmenter le nombre de professionnels formés pour répondre aux besoins de tous les établissements de santé : former 34 000 infirmièr.es et 24 000 aidessoignant.es de plus.
• Flécher la contribution à la formation des entreprises de santé vers les besoins en compétences des professionnels, ce qui n’est plus possible depuis la loi « Avenir professionnel ».
3-La santé, un investissement à sanctuariser pour la Nation 57% des Français souhaitent des moyens accrus pour les établissements de santé. Jusqu’à aujourd’hui et depuis de nombreuses années, le secteur de la santé a été vu comme un coût pesant sur la Nation qu’il convenait de maîtriser, en témoigne la baisse ininterrompue des tarifs pendant 10 ans, jusqu’en 2018. Pour la FHP, il est urgent de sortir de la logique de coûts à maîtriser pour entrer dans celle d’investissements.
« Le mode de financement de la santé et sa vision comptable ont clairement atteint leurs limites » explique Lamine Gharbi. « Il nous faut nous montrer audacieux et inventer de nouvelles formules pour répondre aux besoins mais aussi être en capacité d’investir. Le financement doit être un levier de modernisation de notre système de santé et des établissements. ».
• Une augmentation durable de l’Ondam : 10 % en 2021 pour rattraper le niveau d’investissement et revaloriser les salaires puis 6 % par an à compter de 2022.
• Une fixation pluriannuelle de l’Ondam pour donner de la visibilité.
• Une sécurisation de l’Ondam : se prémunir des « révisions » par l’administration en cours d’année.
• Reprise de la dette des établissements de santé privés, conformément à la décision du Conseil d’Etat de juin 2020 .
4-Identifier les enjeux de santé publique et y répondre Quitter la culture de la gestion comptable du secteur de la santé pour une approche médicale, ce n’est pas uniquement répondre aux besoins de soins. C’est aussi développer une véritable culture de santé publique. La FHP propose de partir des besoins de santé de la population pour prendre les décisions sur cette base et non sur le seul prisme comptable.
C’est à partir de cette approche tournée vers la réponse aux enjeux de santé publique que s’articulent les propositions de la FHP, en commençant par la sanctuarisation et l’accroissement significatif et durable des budgets alloués à la prévention.
• La « Tarification à l’Activité » ne doit pas servir de bouc émissaire. C’est une garantie d’efficience. Elle ne doit pas être abandonnée et doit être inclue dans un financement mixte.
• Développer le financement à la qualité des soins et les outils d’évaluation de la pertinence des soins.
• Médicaliser l’Ondam : construire l’enveloppe sur la base d’objectifs de santé : prévention des crises sanitaires, numérique et systèmes d’information, accès aux soins et permanence des soins, prise en charge des personnes âgées, prévention, précarité.
• Pérenniser les prises en charge innovantes mises en place pendant la crise : consultations avancées, téléconsultations, équipes mobiles…
5-Une organisation et une régulation tournées vers l’efficacité : 85% des Français pensent qu’il est nécessaire de donner plus de liberté d’action et d’initiative aux soignants. Les Françaises et les Français, tout comme les acteurs de santé, souhaitent un système de santé efficace. Pour cela, il est nécessaire de libérer les énergies et de faciliter l’exercice des professionnels de santé et des établissements de santé.
Passer à une culture de la confiance à priori est le sens des propositions concrètes faites par la FHP :
• Simplifier la gouvernance : pendant la crise, des autorisations ont été délivrées en quelques jours quand il fallait auparavant plusieurs mois de procédures.
• Mettre en place des autorisations à durée indéterminée « La crise que nous venons de vivre a permis de mesurer le formidable engagement des professionnels de santé » conclut Lamine Gharbi. « La mobilisation des équipes, toutes fonctions et tous statuts confondus, qui ont permis de maintenir le fonctionnement des établissements de santé, ont été saluées et reconnues. Nous avons aujourd’hui une opportunité historique : faire de la santé un secteur d’avenir, au rendez-vous des attentes des Français et des professionnels de santé. La contribution de la FHP vise à préserver et renforcer l’avenir de la santé, ce bien commun dont la crise a montré qu’il était si précieux. »
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Le robot médical de la start-up Quantum Surgical a opéré un patient de 56 ans atteint d’une tumeur du foie, le 4 juin dernier au CHU de Montpellier. Une première mondiale. Fondée en 2017, la jeune entreprise montpelliéraine de robotique chirurgicale a créé une plateforme d'assistance dédiée au traitement mini-invasif du cancer du foie : elle permet de planifier l’intervention sur les images 3D du patient, puis réaliser le geste avec précision, guidé par le robot.
L'équipe a effectué une thermo-ablation percutanée par radiofréquence. Sous guidage de l'imagerie, le radiologue a introduit une aiguille au centre de la tumeur. Il y a fait passer un courant électrique qui a généré de la chaleur au bout de l'aiguille et a détruit la tumeur en la brûlant. Toujours selon le communiqué de presse du CHU de Montpellier, "Ce 1er traitement par thermo-ablation avec assistance robotique a permis de détruire la tumeur en totalité avec une excellente marge. Nous n’aurions pas pu faire mieux. Le patient va très bien. Il est rentré à domicile dès le lendemain pour reprendre une vie normale", explique le Professeur Boris Guiu, chef du département de radiologie diagnostique et interventionnelle de Saint-Eloi qui a opéré le patient avec son équipe. Cette première mondiale a été effectuée dans le cadre d'un essai clinique mené dans trois établissements de santé français.
"Quantum Surgical marque de son empreinte le secteur de la robotique médicale et conforte son ambition", complète Bertin Nahum, président fondateur de Quantum Surgical.
Le cancer du foie est le deuxième cancer le plus mortel et touche 800 000 nouveaux patients chaque année dans le monde dont 8 000 en France. Dans le monde, plusieurs entreprises offrent déjà des solutions robotisées pour traiter les cancers du foie comme Medtronic et son robot Mazor X, Intuitive surgical avec Da Vinci ou Accuray avec sa plateforme de radiothérapie CyberKnife.
Comme d'autres, il s'était arrêté en raison du confinement : le chantier du futur bâtiment dédié aux soins de suite et réadaptation (SSR) polyvalents et gériatrie, du Pôle Santé Louis Serre, a repris, a fait savoir le groupe Clinipole début juin. La livraison est prévue pour le second semestre 2021.
Un centre dédié aux soins de suite et de réadaptation
Le nouveau bâtiment de 5 000 m² sera doté de 80 lits et d’un plateau technique. Cette extension du Pôle Santé va compléter et diversifier l’offre de soins pour répondre au mieux aux besoins de santé des patients du territoire. Ce centre de rééducation, sur le même site que les urgences, le service de chirurgie et son bloc opératoire, le service de médecine, le centre d’imagerie et les cabinets de consultation, permettra une continuité de prise en charge avec les médecins et chirurgiens du Pôle Santé.
Il sera exploité sous la forme d’un Groupement de Coopération Sanitaire (GCS) entre la Clinique Via Domitia (50%) et le Centre Hospitalier de Lunel (50%). 60 emplois seront créés (médecins, infirmiers, aides-soignants, agents de service hospitalier, secrétaires, kinésithérapeutes, ergothérapeutes, etc.). L’investissement est assuré par ICADE Santé, partenaire immobilier du Groupe Clinipole, pour un montant de 11,5 millions d’euros.
Ce projet a pu voir le jour grâce à la coopération réussie entre établissements de santé public et privé et au soutien de la Ville de Lunel et de l’Agence Régionale de Santé Occitanie.
6 nouveaux lits pour l’hospitalisation de courte durée
Parallèlement et toujours dans le cadre de son développement, le service des urgences s’est agrandi en février dernier avec la mise à disposition de 6 nouveaux lits dédiés à l’hospitalisation de courte durée.
Le bassin de population de près de 200 000 habitants entre Nîmes et Montpellier va ainsi bénéficier d’un Pôle santé unique, équipé d’un plateau technique complet et innovant.
La Clinique Via Domitia
La Clinique Via Domitia fait partie du Pôle Santé Public-Privé Louis Serre à Lunel. Le Pôle Santé résulte de la volonté des différents acteurs de santé de Lunel de mettre en commun leurs services sur un lieu unique afin de mieux répondre aux besoins de santé des habitants de Lunel et sa région. L'établissement travaille en étroite collaboration avec l’hôpital de Lunel, le Centre de Radiologie et le Centre d’Hémodialyse.
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C'est avec enthousiasme que Gérald Berry, Architecte associé de l'agence Chabanne a fait part ce 11 juin 2020, de la validation par la commission de sécurité pour la future ouverture du nouveau Centre Hospitalier de Belley après 3 ans d'études et de chantier.
Pour mémoire, le CH de Belley qui est en direction commune avec le centre hospitalier Métropole Savoie (CHM, Chambéry/Aix-les-Bains), s'est lancé en 2017 dans une opération de reconstruction qui concerne aussi l'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad).
Le projet, mené en conception-réalisation, dont le coût total (non définitif-chiffre 2017) s'élève à 35 millions d'euros hors taxes, avait été confié au groupement Léon Grosse, Oteis, Beteg, Secoba, Inddigo, Engie Cofely et au cabinet d'architectes Chabanne.
Crédit : Agence Chabanne
Totalisant 341 lits et places, le nouvel hôpital devient une pièce maîtresse de l’aménagement urbain de Belley : il s’ouvre face à la ville, l’anime et interagit avec elle. Sa situation en entrée de ville, l’harmonie des lignes entre l’Hôpital et l’EHPAD, ainsi que les espaces lumineux ouverts sur le paysage confèrent à cet hôpital de proximité une architecture contemporaine.
Organisation des espaces ( selon Dossier presse 07/2017 ) :
L'HÔPITAL
- RDC bas de l’ensemble des secteurs logistique : La cuisine en lien direct avec le self du personnel s’ouvrant sur une terrasse extérieure, la pharmacie, le laboratoire, la plateforme déchets, la lingerie relais, l’espace mortuaire, les archives, l’atelier, les vestiaires du personnel, les locaux techniques
- RDC : Hall d’accueil comprenant la banque d’accueil, les admissions et l’attente public ; consultations, l’imagerie, les urgences comprenant 8 lits UHCD, dialyse avec son propre accès totalement indépendant du MCO.
- R+1 correspondant au niveau interventionnel : le bloc opératoire, le bloc obstétricale, l’endoscopie, l’ambulatoire, le secteur d’hébergement Gynéco/ pédiatrie/chirurgie avec 8 lits gynéco/obstétrique + 6 lits pédiatrie et 15 lits chirurgie ; le secteur administratif.
- R+2 correspondant à l’ensemble des activités et hébergement SSR : une unité d’hébergement de 40 lits, un plateau technique de rééducation, un hôpital de jour.
- R+3 unité conventionnelle de médecine de 56 lits
Crédit : Agence Chabanne
L'EHPAD
- RDC : la place du village (salle animation avec le bureau animation, salon coiffure, espace snoezolen, espace bien-être), le bureau polyvalent, le secteur administratif, le PASA, les unités UVA1 et 2 de 12 lits chacune, les unités UVA3 de 12 lits et UVA4 de 24 lits.
- R+1 : 1er module d’unité de vie standard UV5 et UV6 de 32 lits chacune, des locaux en commun des 2 modules d’unité de vie standard
- R+2 : 2ème module d’unité de vie standard UV7 32 lits et UV8 32 lits
Une galerie de liaison relie le MCO et l’EHAPD au RDC pour le public et au RDC bas pour la logistique et le personnel.
Rappelons également qu'en février dernier, la directrice de l'établissement, Madame Céline VIEUX avant annoncé qu'à la suite de l'avis du conseil de surveillance donné en décembre 2019, le nouvel établissement porterait "le nom de centre hospitalier Bugey Sud".
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