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Le Groupe Vivalto acquiert la Polyclinique Saint-Georges, son 41ème établissement
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Selon le communiqué du 02/11/2020, le Groupe Vivalto Santé renforce son maillage territorial en région Nouvelle-Aquitaine avec l’intégration de la Polyclinique Saint-Georges située à St Georges-de-Didonne, près de Royan.

Ce sont 4 établissements qui travaillent aujourd’hui en réseau et consolident l’offre de soins.

 Il s’agit de :

  •  la Clinique Saint-Joseph Angoulême,
  • Clinique Richelieu de Saintes,
  • la Clinique Pasteur de Royan
  • et depuis le 26 octobre 2020, la Polyclinique Saint-Georges à St Georges-de-Didonne.

Cette acquisition s’inscrit pleinement dans la stratégie du groupe de développer des Projets Médicaux de Territoire en lien étroit avec l’ensemble des professionnels de santé afin de répondre au mieux aux attentes de la population concernée.

Le Groupe VIVALTO SANTE, 3ème acteur privé national, se différencie par son modèle original de gouvernance partagée, la « Troisième Voie », dans lequel actionnaires, médecins et investisseurs financiers sont parties prenantes des réflexions et décisions stratégiques.

 L’intégration de la Polyclinique de Saint-Georges se fera dans cette dynamique propre au groupe.

La Polyclinique Saint-Georges :

La Polyclinique de Saint-Georges est un établissement pluridisciplinaire répondant aux besoins du territoire de santé sur lequel elle est implantée. Cet établissement MCO avec un service d’Urgence, dispose depuis 2014 d’un Centre de Soins de Suite et Réadaptation polyvalents.

En quelques chiffres...

· 10.9 millions de chiffre d’affaires

· 24 praticiens

· 35 lits et 21 places en médecine et chirurgie

• 64 lits et places en Soins de Suite et Réadaptation dont 5 lits d’hôpital de jour

• 740 séjours en SSR

• Activités principales : orthopédie, chirurgie viscérale, gastro entérologie, ophtalmologie, Soins de Suite et Réadaptation, urgences …

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Laurent Wauquiez débloque une subvention de 2,2 millions d'euros pour reconstruire l'hôpital de Moze
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Crédit photo : © Radio France

hebdo-ardeche.fr le 07/11/2020 - Fortement attaché à Moze, le président de la Région Auvergne Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez, a débloqué 2,2 millions d'euros pour reconstruire l'hôpital. Ces crédits, promis de longue date, ont été votés lors de l'assemblée plénière du 16 octobre, et annoncé par le président de la Région Auvergne Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez lors d’une visite sur place le 30 octobre.

"C'est un message d'espoir : je ne veux pas que l'hôpital ferme ou soit perdu, a martelé Laurent Wauquiez. Je suis convaincu de son utilité. Je crois dans ce projet, je crois en vous (ndlr : le personnel hospitalier). Moze a besoin de ces 2,2 millions d'euros, c'est le moment de le faire et il faut que le projet soit lancé le plus vite possible. Il faut aussi que l'Agence régionale de santé et le Département l'accompagnent"

Dans le même temps, la municipalité a décidé d'accompagner l'accélération de ce projet en lançant prochainement la révision du PLU permettant l'extension du bâtiment. Une étude d'impact sera aussi accompagnée par la municipalité.

En effet, la vétusté et l'agencement du bâtiment n'aident pas le personnel à travailler dans de bonnes conditions, et ne sont pas favorables aux patients et résidents. 

Concrètement, ce projet d'un coût global estimé à 14,5 millions d'euros prévoit la destruction de la partie centrale de l'hôpital. La vieille demeure à droite de l'entrée sera conservée, et le bâtiment sera organisé autour de la partie la plus à gauche actuellement. L'aspect hôpital se trouvera en rez-de-chaussée, et le côté Ehpad au premier et deuxième étage. Aujourd'hui, les soignants peuvent parcourir jusqu'à 100 m d'un bout à l'autre de l'établissement, le bâtiment fera moitié moins de long mais sera plus "compact" avec deux ailes, explique Norbert Exbrayat, trésorier administrateur de l'hôpital. Les travaux pourraient démarrer au printemps 2022 pour une durée de quatre ans." (...) 

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Un projet à 44 millions d'euros pour l'hôpital de Valence
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Source : francebleu.fr

L'hôpital de Valence va se doter d'un nouveau plateau technique d'ici 2025. Coût du projet : 44 millions d'euros. Le chantier aura lieu en trois phases. La plus importante débute dès l'été prochain, en juin 2021. 

Un nouveau bâtiment doit sortir de terre, derrière l'actuel service des urgences. Il abritera 16 blocs opératoires, 24 lits de réanimation et différents locaux techniques. Sur le toit, deux héliports seront construits. L'hôpital doit recevoir les travaux en 2023. 

Une fois que le service de réanimation aura déménagé dans ce nouveau bâtiment, d'autres services vont être étendus dans les anciens locaux. Un salon d'accueil chirurgical sera créé, le pôle mère-enfant va être développé avec notamment un renforcement des urgences gynécologiques et obstétricales. 

La direction de l'hôpital lancera aussi en 2022 la construction d'un nouvel Ehpad à Beauvallon.

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A peine présenté, l'hôpital mobile de Toulouse est déployé au Centre hospitalier de Bayonne
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Crédit photo : @CHU de Toulouse

L’Unité mobile polyvalente Europe Occitanie (UMPEO) a fait l’objet d’une annonce en fin de semaine dernière.

Fruit d’un partenariat entre les équipes du Samu 31 et la société Cegelec Défense, l’UMPEO a été présenté par le directeur du CHU de Toulouse, Marc Penaud : « Il y a très peu de centres dans le monde qui sont des centres de réponse à la catastrophe aujourd’hui. Toulouse, via son CHU et son Samu, en font partie, et c’est donc dans ce cadre-là que se déploie le shelter et qu’on a obtenu des crédits ».

C’est en effet par le biais du le Fonds de Développement Régional ( FEDER) que le prototype de l’unité polyvalente Europe Occitanie a été financé,  dans le cadre du programme entre la France et l’Espagne. Présenté comme "unique en Europe", le projet a été confié à l’entreprise Cegelec Défense, filiale de Vinci Energies.

Vincent Bounes, directeur du Samu de la Haute-Garonne a précisé la genèse du projet : « Cela fait trois ans que le CHU est dans une démarche de recherche, d’innovation de développement d’un hôpital mobile. Il a été finalisé et livré en septembre. On a fait plusieurs tests de charge, de développement, des améliorations, et il est désormais prêt à être déployé. Il va être utilisé comme un service de soins intensifs pour des patients Covid-19, dans des zones où il y a un réel besoin À la base, il s’agit d’un module fait pour la médecine de catastrophe, pour faire un hôpital de campagne en cas d’attentat. La région de déploiement initial, c’est autour des Pyrénées, en France et en Espagne, entre l’Occitanie, la Nouvelle-Aquitaine, la Navarre, la Catalogne et l’Andorre) ».

Une fois déposé du camion et déployé, l’hôpital mobile dispose de cinq pièces complètement équipées, avec électricité, eau, climatisation et tous les appareils nécessaires, pouvant accueillir un premier patient en seulement 20 minutes. Il est entièrement autonome, avec tout le matériel médical, une salle de soins, des réserves de médicaments, d'oxygène, un réseau satellitaire. Il est équipé de respirateurs permettant de prendre en charge des patients Covid plus, quel que soit l'état de gravité, avec un scope pour surveiller la fréquence cardiaque, la pression artérielle.

Vincent Bounes renchérit : « C’est un modèle unique, un prototype qui n’existe nulle part ailleurs. Il peut prendre en charge jusqu’à 18 patients en réanimation. Il sera déployé là où il y a des besoins, mais ça ne sera pas à Toulouse ». 

« Il n'était pas prévu pour le Covid à la base. Dès demain mardi, on va le déployer au Centre Hospitalier de Bayonne, où il y a beaucoup de patients, des difficultés au niveau des lits » souligne Vincent Bounes.

unite mobile bayonne

Déploiement de l’UMPEO au Centre Hospitalier de Bayonne, ce 09/11/2020 -Crédit photos : Centre hospitalier de Bayonne : 

"L'hôpital de Bayonne a aussi été choisi car "nous sommes partenaires de ce projet européen, cela va nous permettre de le tester. C'est son premier déploiement de crise", précise Tarak Mokni, médecin responsable SAMU SMUR.

DATE : 06 octobre 2020 LIEU :

Crédit photo :Teddy Strandqvist

C'est à un webinar consacré à l'acoustique au bloc opératoire que nous invitent les membres de IHF Aquitaine et la société Acouphon, représentée par Anne Pollet, le mardi 6 octobre 2020, à 16h30.

Les blocs opératoires font partie des zones les plus sensibles et exigent un niveau d'hygiène irréprochable. Ils sont constitués de matériaux et de mobiliers lisses et durs qui sont qualifiés de « réverbérants ». Cette conception favorise un niveau sonore élevé voire très élevé en fonction du type d'intervention chirurgicale.

Présentation d'une étude réalisée sur trois salles d'opérations pourvues d'un traitement acoustique différent : résultats des descripteurs acoustiques et restitution des questionnaires distribués au personnel. Corrélation entre la perception de l'environnement sonore et des mesures. Impact du traitement acoustique sur le personnel en salle d'opération.

Pour rejoindre la conférence : https://www.gotomeet.me/SecretariatIHF/webinar2annepollet

Vous pouvez aussi appeler à l’aide de votre téléphone :  France: +33 187 210 241

Code d’accès: 388-440-349

Vous n’utilisez pas encore GoToMeeting ? Téléchargez l’application dès maintenant et soyez prêt pour votre première réunion : https://global.gotomeeting.com/install/388440349

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Cougnaud, Imebio et Mangini : Trois lauréats pour la réalisation d’unités de réanimation mobiles modulaires
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C’est surement avec fierté que les trois groupements constitués autour des trois sociétés Cougnaud, Imebio et Mangini ont reçu leur notification le 17 septembre dernier. Ils ont en effet été sélectionnés dans le cadre de la consultation nationale pour la fourniture d’unités de réanimation mobiles modulaires aux hôpitaux et collectivités.

Cette consultation a été initiée en avril dernier, lors de la première phase de l’épidémie de Covid19, à l’initiative de la commission architecture et ingénierie de la Conférence des directeurs généraux de CHRU et de l’association des Ingénieurs hospitaliers de France (IHF). La crise sanitaire avait révélé le besoin de disposer rapidement de lits de réanimation pour faire face à une augmentation du nombre de patients nécessitant des soins intensifs. Ces deux entités se sont associées au groupement UniHA, aux Hospices civils de Lyon (HCL) et à l’Association française des ingénieurs biomédicaux (AFIB) pour monter le projet.

D’avril à septembre, le collectif a mis en place un groupe de travail pluridisciplinaire qui a d’abord lancé un appel à manifestation d’intérêt qui a reçu une vingtaine de réponses françaises et internationales. Ce groupe de travail a ensuite élaboré un programme fonctionnel et technique, base de la consultation, puis participé à l’ensemble de la procédure de sélection. « Les critères techniques ont compté à hauteur de 80% dans le choix des lauréats contre 20% pour le prix. La pondération a vraiment privilégié la technique et le fonctionnel sur le prix » a précisé Nicolas Best à nos confrères de APM News.

La formule retenue est celle d’un accord-cadre multi attributaire. Ce qui signifie que les titulaires du marché seront systématiquement remis en concurrence à chaque besoin. Le marché est accessible dès à présent auprès de l’ensemble des hôpitaux publics français.
Compte tenu de l’objet du marché, sa mise à disposition pour des regroupements d’établissements ou des organismes institutionnels sera étudiée au cas par cas.

Afin de faciliter le choix d’une solution, les partenaires proposent un guide destiné à l’acquisition ou à la location de ces unités de réanimation.

Cet appel d’offres constitue une première européenne. Il répond à un besoin nouveau – une épidémie mondiale – par un produit standardisé, fabriqué en Europe, disponible rapidement.

C’est aussi une action originale dont les acteurs – Conférence des DG de CHRU, associations d’ingénieurs, coopérative d’achat – ont su mettre en commun leurs compétences et leur engagement personnel pour retenir l’attention des acteurs économiques professionnels et promouvoir ce projet d’intérêt public.

Les trois solutions disponibles pour une unité de 30 lits :

  • Groupement Cougnaud (Cougnaud construction / A2MO / TLR Architecture / Hervé Thermique / Getinge)

Plan compact s’articulant en deux sous-unités bien distinctes de 15 lits, composée chacune de trois sous-modules constitués de 5 chambres individuelles et d’un poste du personnel soignant.
La solution de base, parallélépipède de 66,51 m de long et 42,55 m de large, composée de modules préfabriqués classiques peut s’insérer dans un espace limité.
Variantes morphologiques possibles en équerre et en carré.

  • Groupement Imebio (Imebio / Aspida / Hall Expo – GL Events / Groupe 6 / Life Ingénierie / Erinha)

Concept utilisant des matériaux innovants : containers modulaires classiques et structures textiles souples protégés par une enveloppe transparente de type chapiteau protégeant des intempéries. Plan compact d’une unité de 30 lits s’articulant en deux sous-unités distinctes de 15 chambres individuelles.
Les parois et plafond textiles possèdent des attributs virucides.
La solution de base, parallélépipède de 66,00m de long et 26,35m de large peut s’insérer dans un espace limité.
Variantes morphologiques possibles.

  • Groupement Mangini (Mangini SRL / Edilsider / Assar France Architects / OTE)


Solution composée à partir de containers métalliques, privilégiant une indépendance et un isolement relatif des modules de 5 chambres individuelles et d’un poste du personnel soignant.
Composition fractionnée autour d’un bloc central et de deux sous-unités qui se composent de trois modules de 5 lits et de quelques locaux communs.
Les dimensions de l’unité de 30 lits (60,21m x 40,80m) permettent une insertion sur un site limité.
Une variante sur deux niveaux est possible pour des sites plus restreints. 
Toutes les exigences d’un service de réanimation
Mobilité : démontage et remontage possibles

 

Le cahier des charges de la consultation comportait un certain nombre d’exigences :
• des unités de 15 chambres individuelles organisées en sous-module de 5 lits, autour d’un poste du personnel soignant,
• des solutions disponibles en unités de 15, 20, 25 ou 30 lits,
• les aménagements des modules permettent de répondre aux principales fonctions d’une unité de réanimation et à une ergonomie de travail similaire à celle d’un service de réanimation,
• une possibilité de réutilisation des unités sur différents sites hospitaliers avec une capacité de démontage et de remontage,
• chaque module est doté de caractéristiques techniques (traitement d’air, hygiène, …) conformes aux standards des unités de réanimation hospitalières.

Le délai de réalisation des modules équipés à partir de la commande, de même que le délai de livraison, de montage, puis de démontage d’une unité de réanimation/soins intensifs, constituaient également des critères de sélection majeurs.

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Une charte « Engagé pour la e-santé » a été signée par 235 industriels
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Dans le prolongement des annonces faites par le Ministre dans le cadre du Ségur de la santé, la feuille de route du numérique en santé portée par la Délégation ministérielle au Numérique en Santé (DNS) fédère désormais l’ensemble des acteurs concernés autour d’une feuille de route commune pour améliorer la santé et la vie des citoyens, fait savoir l'Agence du Numérique en Santé dans un communiqué du 16/09/2020. Elle comprend des objectifs concrets autour d’un calendrier défini.

Cette charte « Engagé pour la e-santé » a été signée par 235 industriels. Ils s’engagent formellement dans cette feuille de route ministérielle à mener à bien plusieurs chantiers numériques essentiels à la modernisation de notre système de soins et à l’amélioration de la prise en charge des personnes dans les secteurs sanitaire et médico-social. 

Les principaux éditeurs du secteur signataires de cette charte s’engagent à :

  • développer des systèmes d’information, services et outils numériques conformes aux référentiels et services socles définis par le ministère ;
  • attester de la conformité de ces outils ;
  • collaborer avec les pouvoirs publics ;
  • proposer des applications dans le futur espace numérique de santé ;
  • accompagner leurs clients afin que le déploiement de ces outils se fasse dans le respect des principes éthiques, de sécurité et de protection des données personnelles ;
  • communiquer largement sur leurs initiatives en e-santé.

Le ministère chargé de la Santé s’engage en retour à :

  • consulter et associer les signataires aux orientations stratégiques de la feuille de route du numérique en santé ;
  • leur fournir les outils nécessaires à la mesure de la conformité de leurs outils ;
  • proposer les expertises et l’assistance nécessaires ;
  • encourager une politique d’investissement en soutien des industriels impliqués. 

 
« Nous sommes heureux et fiers de compter autant de signataires de cette charte d’engagement pour faire avancer la e-santé en France. Cela démontre le partage, par les industriels du secteur, du cadre de valeurs et de la vision que nous portons au travers la feuille de route du numérique en Santé. » ont déclaré Laura Létourneau, Déléguée ministérielle au Numérique en Santé et Dominique Pon, Responsable ministériel au Numérique en Santé

Le détail de la charte et la liste des signataires sont consultables en ligne sur le site de l'Agence du Numérique en Santé

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Le SurgiCube® est un cube opératoire susceptible de remplacer une salle d’opération pour des interventions chirurgicales légères.  Créé et développé aux Pays-Bas au début des années 2000, il a ensuite été déployé en Espagne et en Belgique. Fonctionnel depuis mars 2020 au sein de l'hôpital Fondation Rothschild, notamment par le Dr Christophe Panthier, chirurgien ophtalmologue, le cube opératoire est  utilisé  non seulement pour la cataracte, mais également pour la greffe de cornée ou pour la chirurgie de la paupière.  

"Plusieurs centres l'utilisent également en neurochirurgie,par exemple pour le  traitement du canal carpien. Ce dispositif  va modifier l'environnement chirurgical lors d'une chirurgie type chirurgie de la cataracte.Il fonctionne en aspirant l'air dans une pièce en le filtrant et en le faisant ressortir de manière laminaire, permettant de créer une zone restreinte en norme ISO5. On est sur une chirurgie qui est sous anesthésie locale pure, donc l'anxiété du patient est un facteur essentiel. Le parcours SurgiCube®  va permettre au patient de passer encioe moins de temps à l''hôpital, mais pour autant dans des conditions très agréables." souligne le Dr Panthier dans la vidéo de présentation.

Ce n'est pas une dégradation de la qualité des soins, au contraire. ça permet d'accélérer la prise en charge tout en maintenant une qualité des soins optimale.

"Sur le plan médico-économique, cette unité est beaucoup moins chère qu'un bloc opératoire normal, on peut l'installer n'importe où et puis surtout elle permet de fluidifier le parcours du patient et de raccourcir. Du coup on peut faire davantage d'opérations sur un m^me laps de temps. et celà, bien sûr, est  moins cher pour la communauté et permet de répondre aux besoins de santé publique s'agissant des cataractes en secteur 1 sans dépassement d'honoraires et la diffuser par notre expérience. En fonction des résultats, les pouvoirs publics pourront décider, si c'est positif, d'étendre ce dispositif et de le promouvoir au niveau national." précise Julien Gottsman, Directeur Général.

En effet, son arrivée en France s'isncrit dans le cadre d'une expérimentation autorisée par la HAS pour valider le rapport bénéfice/risques. Chaque unité revient à 90 000 euros.

L'hôpital Fondation Rothschild a prévu d'installer quatre nouveaux SurgiCube® dans le grand projet d'extension qu'il conduit actuellement et qui verra le jour en 2025.

En vidéo : 

surgicube

 

DATE : 26-28 octobre 2020 LIEU : Menton

Portée par les membres de l’Union des Architectes Francophones pour le Santé, la deuxième édition des Journées de l’Architecture en Santé (JAS) se déroulera du 26 au 28 octobre 2020, au Palais de l’Europe à Menton.Dans un contexte de modernisation des infrastructures de santé et d’évolution des techniques et technologies, les JAS se positionnent comme le rendez-vous professionnel incontournable pour échanger et rencontrer les concepteurs les plus aguerris dans le domaine de l’architecture dédiée aux secteurs sanitaire et médico-social.

L'affiche 2020 :

 affiche jas2020

La participation est payante, toutes informations pratiques, inscriptions, etc... consultables sur le site de l'événement .

 

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Bonne rentrée avec Hospihub, portail du projet hospitalier et des innovations en santé
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Après un printemps et un été pas comme les autres, voici que le Covid-19 nous dirige vers une rentrée pas comme les autres non plus. Privés des grands événements professionnels santé tant en France qu'au Maghreb ou en Afrique, il nous faut trouver ensemble d'autres façons de partager, d'informer, de collaborer et avancer. La lecture assidue de nos publications sur la prise en charge des patients Covid au bloc et de l'ensemble des focus a été source d'inspiration et de contacts : différents projets en bénéficient et nous nous en réjouissons. 

La pandémie a par ailleurs fait naître des initiatives dans tous les secteurs touchant à l’hôpital :

  • organisation, fonctionnement,
  • prestations,
  • solutions technologiques,
  • conception, architecture

Nous aurons à cœur de relayer certaines d’entre elles.

Ainsi, plus que jamais le digital a sa place dans la communauté de "ceux qui font l'hôpital", et dans l'attente de vous retrouver à l'occasion d'un congrès ou d'un salon, Hospihub est à votre écoute pour continuer de proposer son panorama des projets hospitaliers et innovations en santé, avec des nouveautés à découvrir bientôt. Bonne rentrée à toutes et tous !

Pour contacter la rédaction :

  • par email en écrivant à infos@hospihub.com
  • par téléphone /whatsapp : +33 6 08 60 22 33

 

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