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En service depuis courant décembre, le 3e scanner du CHBA de Vannes (Centre Hospitalier Brocéliande Atlantique )a été officiellement inauguré le mardi 7 janvier 2020 , apprend-on sur le site internet du Groupement Hospitalier Brocéliande Atlantique.

Un projet territorial visant à conforter l'offre publique en imagerie sur le territoire de santé n°4

Le Groupement Hospitalier, en cohérence avec le projet régional de santé (PRS), se dote de nouveaux équipements d'imagerie dans le cadre de la mise en œuvre de son projet médico-soignant partagé (PMSP) au service des patients et praticiens du territoire - pour une population de 386 000 habitants et une activité globale de 57 829 scanners et IRM par an.

L'installation du 3e scanner sur le site de Vannes est la première étape de ce projet.

Il sera suivi en 2020 au CHBA par l'ouverture d'une 3e IRM puis l'installation d'une nouvelle salle d'imagerie interventionnelle permettant notamment le déploiement d'activités comme la thrombectomie. Le plateau d'imagerie du centre hospitalier de Ploërmel va également être conforté avec le renouvellement de son scanner. Le projet d'installation d'une IRM reste d'actualité dans le cadre de la révision du projet régional de santé pilotée par l'ARS.

À terme, le schéma directeur immobilier et architectural récemment adopté, prévoit la rénovation de l'ensemble des locaux du plateau d'imagerie.

Composition du service d'imagerie

  • Radiologues : 15
  • Internes : 4
  • Cadres de santé : 2
  • Radioprotection : 1 personne compétente en radioprotection, 1 radio-physicien
  • Manipulateurs en électroradiologie : 53,45
  • Secrétaires : 15
  • Aides-soignants (brancardage et aide technique) : 22
  • Agents des services hospitaliers : 6,10

Activité du service

  • 128 860 venues dans le service
  •   33 988 scanners par an à Vannes
  •   12 078 scanners par an à Ploërmel
  •   11 763 examens d'IRM par an

 

Un projet qui conforte un plateau technique d'imagerie hautement spécialisé

Cette acquisition permet au service d'imagerie du CHBA de pérenniser l'excellence et son savoir-faire spécifique dans plusieurs domaines de spécialisation, en oncologie, en imagerie cardio-vasculaire, en imagerie thoracique notamment.

L'objet poursuivi, au travers de cette montée en charge des plateaux techniques, est d'apporter une offre d'imagerie adaptée et organisée selon les deux grandes filières de prises en charge : les activités programmées et les activités non programmées.

Pour la filière non programmée : Les nouveaux équipements vont permettre de dédier 1 scanner à l'urgence, puis très prochainement 1 IRM, sur le site de Vannes, établissement de recours du GHBA et répondre ainsi aux recommandations du conseil professionnel de la radiologie française.Cette mise à disposition totale d'un scanner uniquement à l'activité d'urgence va permettre de réduire le délai de réalisation des examens lors des prises en charge aux urgences.

Pour la filière programmée (consultations externes, hospitalisations de jour et conventionnelles) le nouveau scanner installé permet d'offrir 32 examens supplémentaires par jour. L'augmentation des capacités d'activité va améliorer l'accessibilité à l'imagerie en coupe sur le territoire en permettant de programmer des examens dans les délais requis en fonction des pathologies et des besoins des patients.

 

Contribution au projet médico-soignant partagé des différentes spécialités cliniques

Consolidation de la filière Malades graves par la création d'un pôle dédié au non programmé sur le site de Vannes :

  • Urgences, réanimation, prises en charges spécifiques (cardiovasculaire, digestif, …) et activité chirurgicale pluri-spécialités (digestif, ortho-traumato, urologie, ORL Ophtalmo, gynéco obstétrique).
  • Renforcement du potentiel de la filière AVC phase aigüe.

Appui aux projets de différentes filières du PMSP (cancérologie, maladies chroniques, prise en charge de la douleur, maladies vasculaires) par :

  • Une meilleure accessibilité aux examens d'imagerie,
  • Le développement des activités interventionnelles à visée diagnostique (prélèvements biopsiques) et thérapeutique (chimio embolisation, drainages, traitement de la douleur…).

 

Attractivité pour les professionnels

Ce haut niveau d'équipement sur le territoire conforte l'attractivité du CHBA et des établissements du GHT pour les professionnels de l'imagerie et les médecins radiologues :

  • Par le renforcement de la proximité des radiologues avec les équipes cliniques des différents sites en charge des patients.
  • En permettant d'envisager des modalités d'organisation innovantes (ex organisation d'activités de routine mutualisées, développement de surspécialités, introduction de la télé interprétation entre sites).
  • En facilitant la planification des activités médicales.
  • En confortant la place du GHBA comme acteur majeur de la formation des internes et assistants en radiologie.

 

L'équipement

  • Scanner de marque General Electric.
  • Modèle : Revolution Frontier 40, équipé d'un module de coroscanner, d'un module interventionnel et de l'imagerie spectrale.

 

Zoom sur l'imagerie spectrale

La nouvelle acquisition permettra par l'appui de l'imagerie spectrale des avantages incontestables :

  • Une réduction conséquente des temps d'examens
  • Une diminution des doses d'irradiation,
  • Une limitation du volume de produit de contraste injecté ce qui est important notamment chez les sujets âgés et insuffisants rénaux
  • Une accélération des procédures en s'affranchissant des séries d'acquisition sans injection.
  • Et un confort de lecture des examens pour les radiologues.

L'imagerie spectrale est aussi déployée sur les 2 autres appareils installés au CHBA.

 

Travaux

Ce nouveau scanner est localisé au cœur du service d'imagerie, à l'emplacement d'une ancienne salle de radiologie conventionnelle.

Afin d'adapter ces locaux aux conditions de fonctionnement propre à cet équipement, les travaux ont consisté à créer ou adapter des locaux dédiés (salle scanner, local de contrôle, espace d'interprétation des images). Deux déshabilloirs ont été agrandis, équipés de fauteuils, pour le confort et la préparation des patients.

Ces travaux se sont déroulés sur dix semaines, du 2 septembre au 8 novembre 2019.

L'autorisation d'exploiter l'équipement a été délivrée par l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) le 16 décembre. Le premier patient a quant à lui été accueilli le 17 décembre.

 

Budget

Location sur 7 ans pour un montant total de 1 178 000 € maintenance incluse, soit un coût mensuel d'environ 14 000 €.

Travaux d'aménagement de la nouvelle salle : 110 000 €

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ELSAN, leader de l’hospitalisation privée en France, s’associe à FRANCE SURGERY, plateforme de télémédecine et conciergerie médicale pour poursuivre le développement de la prise en charge des patients internationaux au sein de son réseau d’établissements.

En s’associant à FRANCE SURGERY, ELSAN améliore sa visibilité auprès des patients internationaux et permet aux patients qui souhaitent se faire opérer en France d’accéder à des établissements référents du groupe en lien avec leur pathologie.
 
Concrètement, les patients étrangers se rendent sur la plateforme digitale www.france-surgery.com pour être mis en relation directe avec un réseau d’établissements de santé et spécialistes qualifiés, ou bien pour organiser leur venue en France en vue d’une intervention chirurgicale. Ce partenariat permettra aux patients étrangers d’avoir un accès facilité et simplifié aux établissements ELSAN et aux praticiens qui y exercent, et de pouvoir bénéficier des services de conciergerie organisés par FRANCE SURGERY. Par ailleurs, ce partenariat permet à ELSAN de disposer d’une plateforme digitale qui permet de fluidifier les interactions entre les patients et les partenaires du bureau des patients internationaux, agents facilitateurs, assureurs ou médecins.
 
Le Dr Philippe Aillères, médecin et responsable de la filière patients internationaux chez ELSAN explique « Les équipes médicales d’ELSAN accueillent des patients du monde entier partout en France et dans ses deux cliniques au Maroc dans ses pôles d’excellence tels que l’orthopédie, l’ophtalmologie, la chirurgie cardiaque, la rythmologie et la cardiologie interventionnelle ; mais aussi dans la prise en charge complète des cancers, de l’obésité, de l’assistance à la procréation et de la maternité. Elle les accueille avec la même attention et qualité des soins que pour ses deux millions de patients par an ».
 
L’équipe en charge des patients internationaux chez ELSAN répond aux demandes de devis en moins de 48 heures. Elle accompagne les patients également sur tous les aspects liés à leur prise en charge médicale et, quel que soit leur éloignement géographique (démarches administratives éventuelles, financement, préparation du séjour médical, arrivée dans l’établissement, soins post-opératoires et suivi à plus long terme). Enfin, le groupe s’occupe des personnes accompagnatrices pendant le séjour du patient.

ARTICLE SOURCE :
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VU SUR LE WEB : "Le docteur Benjamin Faurie et son équipe ont mis au point une innovation révolutionnant l'implantation de valve aortique. Développée à l'institut cardio-vasculaire du groupe hospitalier mutualiste de Grenoble (GHM), cette technique présente moins de risque de complications pour le patient. Et surtout, elle est beaucoup moins coûteuse.

Pour remplacer la valve aortique d'un patient, l'ancienne méthode utilisée par les centres hospitaliers consistait à introduire une prothèse par l'artère fémorale, nécessitant l'implantation d'un pacemaker. L'intervention présentait un risque élevé, engendrant de nombreuses complications vasculaires et un taux de mort subite relativement haut.

Avec cette nouvelle technique du docteur Faurie, la durée d'intervention réduite à 30 minutes au lieu de 3 heures, réduisant donc le risque de complications. "Le pacemaker est remplacé par un petit fil guide qui achemine la prothèse valvulaire", explique le chirurgien grenoblois. Les deux méthodes ont été comparées dans une étude réalisée auprès de 304 patients pendant un an, et les résultats sont sans appel." Lire la suite sur https://france3-regions.francetvinfo.fr/

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Le centre hospitalier intercommunal de Poissy/Saint-Germain-en-Laye (CHIPS) annonce dans sa newsletter de janvier 2020 que la salle de radiologie interventionnelle et de cardiologie interventionnelle rénovée et rééquipée est à nouveau opérationnelle : celle-ci  est installée sur le plateau technique d’imagerie du site de Poissy. 

Elle dispose désormais d’un système de guidage scopique et graphique couplé à la technique cone-beam équivalente au scanner et à l’échographie avec fusion d’images (echo-angio, echo-scanner…).

La nouvelle salle permet aux radiologues et aux cardiologues de réaliser des interventions diagnostiques et thérapeutiques très précises, mini-invasives. Le gain en terme de durée, de qualité et de radioprotection par rapport à l’ancien système est considérable. 

En radiologie interventionnelle sont pratiqués les gestes endo-vasculaires pelviens, thoraciques, digestifs…. à l’exception du coeur, ainsi que des gestes percutanés comme des drainages, des biopso biliaires, des biopsies, des infiltrations, des cimentoplasties, etc. 

Côté cardiologie, ce sont des examens de rythmologie, de coronoragraphie et d’angioplastie coronaire qui sont réalisés. Tous ces actes sont très techniques avec des durées variant de quelques minutes jusqu'à plusieurs heures dans les cas d'embolisations complexes.

Cet investissement - qui représente un investissement de 2M€ ( Travaux et rééquipement) - constitue un plus pour la prise en charge des patients du CHIPS et pour l’attractivité médicale et paramédicale.

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L’Institut d’Oncologie Thoracique renforcé avec la création d’un groupement de coopération sanitaire
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France

Gustave Roussy, 1er centre de lutte contre le cancer en Europe et l’hôpital MarieLannelongue, centre français d’excellence de la chirurgie du thorax reconnu internationalement, ont décidé de dynamiser et renforcer l’Institut d’Oncologie Thoracique (IOT) avec la création d’un groupement de coopération sanitaire (GCS) le 17 décembre dernier.

En misant conjointement sur l’excellence, la recherche et le parcours de soins personnalisé et optimisé, l’Institut d’Oncologie Thoracique qui concentre les expertises les plus poussées propose une prise en charge des cancers du thorax à tous les stades de la maladie. Cette création intervient dans le cadre de la fusion effective au 1er janvier 2020 entre l’association Marie Lannelongue et la Fondation hôpital Saint-Joseph.

« Notre impératif est d’offrir à tous les malades une prise en charge accélérée avec le plus haut niveau d’expertise pour tous les types de cancers thoraciques, du plus simple au plus complexe ; le cancer du poumon reste encore à lui seul la première cause de décès par cancer en France » commentent le Pr Elie Fadel, directeur médical à l’hôpital Marie Lannelongue et le Dr David Planchard, chef du comité de pathologie thoracique de Gustave Roussy.

« Ce GCS que nous mettons en place aujourd’hui a pour objectifs de faciliter le parcours des patients qui nous font confiance et de leur offrir la meilleure prise en charge possible ; il permettra aussi à nos équipes médicales de renforcer leur collaboration dans la recherche et l’innovation clinique » indique Jean-Michel Malbrancq, Directeur Général de l’hôpital Marie Lannelongue.

« En 7 ans d’existence, l’Institut d’Oncologie Thoracique, concentré d’expertises des deux établissements, est devenu une référence dans la prise en charge globale des cancers du thorax ainsi qu’en recherche clinique et translationnelle. Il offre à ses patients un accès unique à l’innovation » ajoute Stéphane Pardoux, Directeur Général Adjoint de Gustave Roussy.

Initialement fondé en 2012 sous la forme d’une association type loi de 1901, l’Institut d’Oncologie Thoracique représente aujourd’hui le premier pôle de prise en charge des cancers du thorax. Cela recouvre en premier lieu les cancers du poumon, mais aussi les affections de la trachée, du médiastin, du thymus, de la plèvre, de la paroi thoracique ou encore du cœur.

Son objectif est d’offrir aux patients atteints d’un cancer thoracique une offre de soins complète dans un parcours unique opéré de concert par deux acteurs de renommée internationale aux expertises complémentaires. Gustave Roussy assure les traitements en médecine oncologique, notamment en médecine moléculaire et immunothérapie, en radiothérapie et en radiologie interventionnelle avec des plateaux techniques high-tech ; l’hôpital Marie Lannelongue qui dispose de techniques d’exploration endoscopique avancées pose le diagnostic et effectue les biopsies de suivi. Son expertise historique lui permet de réaliser tous les types de chirurgie, y compris les plus complexes.

La création du GCS vient asseoir l’Institut d’Oncologie Thoracique en tant que pôle de référence des cancers du thorax. Il va apporter un cadre juridique qui permettra de mieux structurer la coopération entre les deux établissements, de constituer une plateforme d’accès unique pour les patients et les professionnels de santé, d’investir dans des outils communs pour partager l’information avec un dossier médical intégralement consultable des deux sites et de développer les moyens en enseignement et recherche (ex : DHU TORINO, département hospitalo-universitaire THORAX INNOVATION en lien avec l’Université ParisSud).

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VU SUR LE WEB : "L'hôpital de Nevers s’équipe d’une salle hybride, un bloc opératoire doublé d’un système de radiographie hautement performant que peu d’établissements en France peuvent se vanter de disposer. Inaugurée samedi 30 novembre, elle accueillera ses premiers patients début 2020.

Des images radiologiques 3D d’une précision inégalée. Un temps d’exposition aux rayons X drastiquement réduit. Des interventions moins longues grâce à un espace de travail optimisé. La salle hybride inaugurée samedi 30 novembre au centre hospitalier de l’agglomération de Nevers (Chan) promet de beaux jours à la chirurgie cardio-vasculaire interventionnelle (interventions réalisées sous contrôle de l’imagerie produite par des appareils de radiologie), moins invasive pour le patient. Premières opérations de patients souffrant notamment de pathologies vasculaires et cardiaques prévues début 2020.

C’est un bijou de technologie de près de deux millions d’euros que le Chan met entre les mains du Dr Van Manh N’Guyen, chef de pôle interétablissement cœur vaisseaux poumons, et de ses équipes. Mise en place de stents, pose d’endoprothèses, installation de pacemakers, rythmologie (étude et traitement des troubles du rythme cardiaque)… « L’activité cardio-vasculaire est importante au Chan », lance celui qui planche sur le projet de salle hybride depuis trois ans. Le responsable de pôle suit, à lui seul, près de mille patients par an. « La chirurgie vasculaire évolue très vite et devient de plus en plus interventionnelle. Nous avons su convaincre l’administration, à notre écoute. »

Aménagé au bloc opératoire, au niveau - 1 de l’établissement, la salle d’opération flambant neuve est équipée d’un système de radiographie embarquant les dernières technologies d’images 3D. Elles sont captées pendant l’intervention par Pheno de Siemens, un bras prolongé d’un arceau pivotant à 360 degrés autour de la table, puis projetées sur un écran de 50 pouces qui fait face aux chirurgiens." (...)  Lire la suite sur lejdc.fr

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Une formation proposée par la plateforme Hospihub, animée par Patrick Breack, Expert en conception et hygiène hospitalières : 

Objectifs

  • Assister une équipe pour la mise au point d’un projet de bloc opératoire
  • Analyser le  concept proposé, documenter des approches complémentaires
  • A cette occasion, intégrer les thèmes définis dans le contenu de la formation
  • Amener l’équipe à un concept abouti, adapté au contexte et développer son argumentation 

 
 
 Thèmes développés

  •  Incidence de la conception sur les conditions de vie et la prévention des risques au bloc opératoire
  •  Incidence de la gestion des DMS sur l’organisation du bloc et de la stérilisation
  • Optimisation des liaisons bloc opératoire / secteur ambulatoire et incidences sur chacun
  • Ventilation, traitement d’air et conception de la salle d’opération et du bloc opératoire 

 
 
Modalités  

  • Ecouter, criquer, justifier, documenter, proposer, partager les connaissances
  • Préserver un temps d’échange important avec les participants  
  • Disposer d’une durée d’intervention adaptée à la nature du projet ainsi qu’aux objectifs
  • Définir préalablement les objectifs, les attentes, le nombre de participants
  • Respecter le parti architectural défini
  • Disposer d’une salle fermée équipée des écrans et moyens numériques nécessaires
  • Evaluation du programme et de la prestation de l’intervenant  
  • Remise du livre « Comprendre et concevoir le bloc opératoire » en fin de session 

Durée : Selon la nature du projet, établie en commun accord 
Dates et lieu : Au sein de l’Agence, Dates définies en commun accord 
Budget :Etabli selon la durée d’intervention et le nombre de participants 
Frais de séjour et déplacement en sus   

  datadocké

contact

 

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Le CHU de Saint-Etienne vient de doter le service de traumatologie – orthopédie d’un tout nouveau robot chirurgical : le Robot Mako. Cet équipement de pointe, unique en région Auvergne-Rhône-Alpes, permet l’implantation robotisée avec une ultraprécision de prothèses totales et partielles de genoux. Cette technologie particulièrement innovante présente de nombreux avantages pour les patients: diminution des douleurs post-opératoires et des saignements péri-opératoires, meilleur positionnement et durée de vie plus longue des implants, séjour à l’hôpital plus court.

La mise en place d’une prothèse totale de genou est une chirurgie bien établie avec des résultats consensuels et généralement bons pour l’amélioration fonctionnelle des patients. Cependant 20% des patients présentent un résultat jugé non satisfaisant, voire même mauvais après ce type de chirurgie utilisant une méthode conventionnelle.

Le Robot Mako pour l’implantation des prothèses unies et tricompartimentales utilise une technique associant une planification tridimensionnelle préopératoire basée sur un scanner, une intégration de ces données spécifiques au patient durant le geste opératoire et un bras robotisé appliquant la programmation désirée et adaptée aux caractéristiques anatomiques précises du patient.

Cette technique robotisée est utilisée aux Etats-Unis depuis 10 ans, la France ayant beaucoup de retard dans ce domaine. Elle s’adresse à tous les patients devant bénéficier d’une prothèse totale ou partielle du genou.

robot mako

 

Douleur post-opératoire diminuée

Une large étude de Kayani a montré l’intérêt du Robot Mako pour la diminution des douleurs postopératoires immédiates mais aussi dans les six premiers mois après la chirurgie. En comparant deux groupes de patients opérés selon la méthode classique et selon la technique du Robot Mako, une différence significative des scores douleurs et des consommations d’antalgiques paliers II et III a été démontrée en faveur du groupe opéré avec le Robot Mako. L’étude récente de Haddad publiée dans le JBJS British en 2017 a montré les mêmes résultats. La diminution de consommation d’antalgiques morphiniques est un point clef dans la gestion post-opératoire. Elle permet de réduire les risques liés à cette consommation et notamment les complications respiratoires fréquentes en cas de surdosages.

Cela participe aussi au confort du patient qui bénéficie plus rapidement d’une rééducation de qualité sans douleur. Cela permet enfin d’envisager une sortie de l’établissement hospitalier précoce et dans de meilleures conditions.

 

Saignement péri-opératoire diminué

L’utilisation de la technique Robotisée Mako permet de restreindre la lésion des tissus ce qui a pour conséquences de diminuer significativement les saignements post-opératoires et per-opératoires. Les études randomisées comparatives rapportent des taux de saignement significativement plus faibles avec le Robot Mako et des chutes du taux d’hémoglobine plus faibles. Cela permet d’éviter des thérapeutiques annexes visant à supplémenter en Fer les patients et de limiter les risques cardiaques consécutifs à cette anémie brutale. En outre les patients ne ressentent plus les signes généraux d’une anémie postopératoire. Ces améliorations favorisent également un départ précoce en centre de rééducation ou à domicile après la chirurgie.

 

Positionnement et survie à long terme des implants améliorés

L’utilisation du Robot Mako, associée à une planification 3D, permet une précision de l’ordre de 0,2 ° dans les coupes osseuses, soit une précision de pose extrêmement fine. Elle est par ailleurs très reproductible et permet de limiter le plus possible le facteur humain lors de la mise en place de la prothèse. L’ensemble des publications montrent que la précision du geste et donc le bon positionnement des implants constituent un facteur essentiel dans la durée de vie de la prothèse. En effet, une erreur d’axe post-opératoire supérieure à 3° engendre de facto une usure asymétrique des implants et un descellement précoce de ces derniers. Ainsi tout moyen permettant d’améliorer le positionnement des implants est directement lié à l’amélioration de leur survie à long terme. Le Robot Mako est le meilleur moyen actuellement de positionner de manière fiable et reproductible les implants. La durée opératoire s’en trouve également diminuée.

 

Durée de séjour diminuée

Marchand et al rapportent dans une étude de 335 patients publiée en 2018 une durée de séjour significativement diminuée grâce au robot Malko. La diminution des douleurs, la réduction des saignements et donc le début précoce de la rééducation - avec un lever et une mobilisation précoces de l’articulation - participent à la sortie précoce de l’hôpital. Blyth et al, dans une autre étude portant sur 139 patients, montrent aussi une réduction moyenne d’une journée de la durée du séjour hospitalier grâce au robot Mako.

Ceci s’intègre donc clairement dans une démarche de récupération améliorée après chirurgie associant : lever, kinésithérapie et départ de l’hôpital précoces. Cet investissement majeur s’inscrit dans la volonté du CHU de Saint-Etienne d’offrir à la population ce qui se fait de mieux actuellement en matière d’équipement dans le traitement chirurgical de la gonarthrose.

 

Les chiffres de l'investissement

Selon le media essor.42 : "Le CHU de Saint-Etienne étant le troisième établissement en France et le seul en Auvergne-Rhone-Alpes à s'en équiper, pour un investissement, « restant confidentiel, qui compte le tarif de la machine, la compétence en ingénierie, la maintenance annuelle et la formation des spécialistes », selon le directeur général de l'établissement, Mickaël Galy. Il concède toutefois : « 700 000 € proviennent de l'ARS. Un CHU ayant pour vocation de former et d'innover, il y a un enjeu d'attractivité pour recruter les meilleures compétences médicales. »

Le Dr Philippot, qui dispose de la certification pour l'usage du robot Mako annonce une progression de + 5 % du nombre d'opérations de chirurgie prothétique du genou par an au niveau national et de 20 % au CHU de Saint-Etienne, portant le nombre d'actes à 350 chaque année".

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L’Hôpital Privé Arnault Tzanck Mougins - Sophia Antipolis est engagé depuis de nombreuses années dans une démarche coordonnée d’amélioration continue de la qualité, comme en atteste la Certification Niveau A attribuée par la Haute Autorité de Santé.

Déterminés à asseoir la dynamique engagée dans le Management de la Qualité et la Gestion des Risques au sein de l’Établissement, les responsables de l'établissement indiquent : "Nous avons fait le choix d’éprouver nos organisations aux exigences d’un Label reconnu à l’international : la norme de Certification ISO 9001."

Ainsi, la prise en charge du patient en Chirurgie ambulatoire a fait l’objet d’une certification ISO dès janvier 2015.

Ce label Qualité s’est étendu en janvier 2018 à la prise en charge du patient en secteur d’Explorations et Thérapeutiques Endoscopiques ; puis en janvier 2019, à la Stérilisation des dispositifs médicaux.

C’est une première : "Nous sommes à ce jour le seul plateau technique en France certifié ISO 9001 dans son intégralité, suite à l’audit AFNOR de notre Bloc opératoire réalisé en cette fin d’année 2019.

Cela garantit au patient la qualité de sa prise en charge sur l’ensemble de son parcours chirurgical et endoscopique" précise le communiqué de presse.

Lors de la restitution de ses conclusions, l’auditeur a eu à cœur de souligner qu’aucun point sensible n’était relevé, attestant ainsi d’un très haut niveau qualitatif.

Cette quadruple certification ISO - Chirurgie ambulatoire, Endoscopie, Stérilisation et Bloc opératoire - est le fruit d’un travail continu et un motif de grande fierté pour l’ensemble des équipes soignantes, médicales, techniques, administratives et qualité qui travaillent tout au long de l’année au service de l’excellence médicale et des patients.

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Le lauréat des Trophées FHP 2019 est la  Clinique La Lovière
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France
Crédit photo : Dare Pixel

Mercredi 11 décembre au Carrousel du Louvre, à Paris, c'st le projet de la clinique La Lovière qui a remporté la finale des Trophées de l’Hospitalisation Privée 2019.Ces trophées récompensent tous les ans les projets les plus innovants mis en place dans les hôpitaux et cliniques privés. Ils mettent en lumière les actions de terrain qui font l’excellence de la profession et rappellent l’engagement des médecins et personnels de santé au service des patients.

Sélectionnés parmi les 46 dossiers de candidature déposés, cinq établissements finalistes ont présenté sur scène leur projet devant le public et un jury composé de personnalités reconnues et indépendantes du monde de la santé au cours d’une cérémonie organisée à la veille des Rencontres FHP*.

Les cinq projets présentés ont séduit le jury par leur grande qualité, faisant appel à la technologie mais plaçant toujours l’humain au cœur de leur dispositif, et par leur diversité : du volet social au volet RH en passant par le parcours de soin pour les patients porteurs de handicap. Finalement, le classement a été extrêmement serré, un écart minimum séparant les cliniques entre elles.

L’établissement lauréat, la clinique La Lovière située à Louviers en Normandie (Groupe Clinea) a été récompensée pour son projet : « A la poursuite du fantôme de La Lovière ! », un escape game en rééducation.

Ce centre de rééducation fonctionnelle propose à ses patients et à leurs proches une activité thérapeutique ludique et différente des autres actes de rééducation. Il s’agit d’un escape game, dont le but est de retrouver l'identité d’un fantôme en progressant au sein de la clinique grâce à des énigmes qui font appel à une grande palette de fonctions (exécutives, motrices, sensitives…).

Lors de la remise du Trophée, la directrice de la clinique La Lovière, Stéphanie Koscher, a déclaré : « Nous sommes très fiers d’avoir remporté ce prix. Il récompense une équipe pleine d’imagination. Il est particulièrement intéressant et motivant pour un responsable d’établissement de soutenir des projets innovants porteurs d’avenir. »

Pour sa part, le président de la FHP Lamine Gharbi a rappelé l’importance pour la fédération de valoriser l’innovation : « Le nombre important de dossiers déposés témoigne du dynamisme de notre secteur. Ces Trophées valorisent des acteurs volontaires qui se distinguent dans un domaine qu’il est essentiel de soutenir, celui de l’innovation en santé. Des équipes se sont investies dans une démarche d’excellence pour monter des projets au service des patients avec cœur et ambition. Par la qualité de ces projets, le lauréat et les finalistes de cette 12ème édition font honneur à l’hospitalisation privée. »

Les autres établissements finalistes étaient :

  • Le Centre médico-chirurgical les Cèdres, à Brive La Gaillarde (Groupe Elsan) : Association entre une clinique privée et Emmaüs pour une action solidaire de santé. 
  • La Clinique de l'Union,  à Saint-Jean (Groupe Ramsay Santé) : Dispositif d’accès aux soins pour des patients sourds en langue des signes Française
  • La Clinique Pasteur, à Toulouse (clinique indépendante) : "Les talents de Pasteur", le personnel héros de l’innovation
  • Le Centre Hospitalier Privé Sainte-Marie à Osny (Groupe Vivalto Santé) : Projet mobilité QUARNESS

* Le jury était composé de :
- Didier Alain, Directeur département diffusion et appropriation de l’ANAP .
- Jean-Carles Grelier, Député de la Sarthe.
- David Gruson, Fondateur d’Ethik
- Olivier Mariotte, Président de Nile Consulting.

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