« L’e-santé  » retenue comme l’une des priorités sectorielles en Tunisie

Date de publication
« L’e-santé  » retenue comme l’une des priorités sectorielles en Tunisie
Tunisie

Vu sur le site de l’Agence Français de Développement (AFD) – publication du 09/03/2016 :
« Dans le cadre de son appui à la stratégie tunisienne de développement du digital, l’AFD a organisé du 22 au 26 février 2016 un voyage d’études sur le thème de « l’e-santé en France » à l’attention de représentants de plusieurs ministères de la République de Tunisie.

(…)

La délégation tunisienne a rencontré des acteurs de l’e-santé en France, qu’ils soient publics (MASSDF, ASIP, ATIH, ANAP, CNAMTS…) comme privés (CATEL, CNOM, CAPDIGITAL, SNITEM, ORANGE HEALTHCARE, CEGEDIM, MEDASYS, H4D, SOFTWAY MEDICAL).

Les points stratégiques abordés :

  • le rôle et les modalités de l’action publique pour le développement de l’e-santé, aux niveaux central et déconcentré,
  • l’état du déploiement du dossier médical partagé et ses nouvelles perspectives,
  • les programmes d’investissements « hôpital numérique » et « territoires de soins numérique »,
  • l’importance des approches participatives dans la conception et la mise en œuvre des projets d’e-santé,
  • la privatisation du marché des systèmes d’information et les enjeux sous-jacents de régulation, d’interopérabilité et de sécurité
  • ou encore les nombreuses potentialités de l’e-santé pour renforcer le pilotage du secteur, l’allocation des ressources, la coordination et la qualité des soins.

Ce programme a permis à la délégation tunisienne de cibler les expériences dont ils pourraient s’inspirer et de faire émerger des orientations pour le futur programme « e-santé » de coopération technique, en vue d’un financement à travers le fonds d’expertises techniques et d’échanges d’expériences (FEXTE). »

 

Lire l’article en entier sur le site de l’AFD

 

Etablissement public au cœur du dispositif français de coopération, l’Agence Française de Développement (AFD) agit depuis plus de soixante-dix ans pour lutter contre la pauvreté et favoriser le développement dans les pays du Sud . Elle soutient également le dynamisme économique et social des Outre-mer.

Au moyen de subventions, de prêts, de fonds de garantie ou de contrats de désendettement et de développement, elle finance des projets, des programmes et des études et accompagne ses partenaires du Sud dans le renforcement de leurs capacités.