Concilier séjour médical et tourisme à Budapest Crédit : www.everystockphoto.com
Vous avez choisi Budapest pour votre séjour médical ?
Si votre état le permet, voici ce que vous pourrez y faire, et des idées de cadeaux typiques à ramener.
Une des meilleures façons de découvrir la ville lors d’un court séjour, semble d’opter pour une croisière fluviale. Les offres sont variées : de quelques heures à plusieurs jours, avec repas en soirée, vous permettant ainsi de profiter des magnifiques Illuminations du parlement et du Pont des Chaînes.
En journée, vous pourrez aussi vous rendre rue « Vaci Utca », célèbre pour ses cafés, restaurants et magasins.
Parmi les choix de souvenirs à rapporter de Budapest, nous avons listé pour vous : des instruments de musique, des broderies, des poteries, de la porcelaine, des œufs peints, de la liqueur d’abricot, des épices (le paprika étant le plus connu), du foie gras, du vin « Tokaj ».
Mais avant tout, demandez bien son avis au médecin sur ce qu’il vous autorise à faire après votre intervention. Que vous y alliez pour des soins dentaires, ou de la chirurgie esthétique, la prudence sera de mise avant d’envisager par exemple une séance aux bains thermaux réputés de la région de Budapest.
D’autres activités vous seront proposées, soit par la clinique, soit par l’agence que vous aurez peut-être choisie pour organiser votre séjour médical.
Certaines agences font des offres très intéressantes, incluant la prise en charge gratuite d’un accompagnant : celle-ci ou celui-ci aura le loisir de « tester » quelques unes de ces propositions et partager avec vous celles qui vous seront accessibles.
Outre les soins dentaires qui sont une de ses grandes spécialités, la Hongrie attire de plus en plus de patients étrangers pour la chirurgie esthétique, et en particulier pour la greffe de cheveux. Elle est également bien positionnée pour son offre de traitement de la stérilité /infertilité.
« Tourisme médical..ah oui, pour la chirurgie esthétique ». C’est vrai, la notion de tourisme médical est très fortement associée aux interventions de chirurgie esthétique. Nous verrons ultérieurement – en attendant, jetez un oeil au sommaire de HOSPIHUB Tourisme médical – que d’autres types d’interventions /soins motivent les déplacements médicaux.
TOURISME MÉDICAL ET CHIRURGIE ESTHÉTIQUE
Même si on ne profite pas forcément de la plage ou de la ballade à dos de chameau indiquée sur le prospectus, difficile de ne pas regarder de plus près les propositions de chirurgie esthétique à l’étranger : « Tout inclus à partir de 1500 euros : transferts aéroport/clinique, hébergement 7 nuits en hôtel 5 étoiles, consultations pré et post-opératoires, honoraires pour l’intervention chirurgicale, séjour en clinique, médicaments, accessoires /consommables post-opératoires.… »
Le tarif, le délai rapide de prise en charge, le niveau professionnel des chirurgiens souvent vérifiable sur demande, la période de récupération discrètement loin de chez soi, le suivi-post opératoire garanti annoncé,…la beauté des lieux sont des arguments complémentaires, et définitifs pour convaincre davantage chaque année, d’utilisateurs du Tourisme médical.
PARMI LES INTERVENTIONS LES PLUS DEMANDÉES, L’ABDOMINOPLASTIE
L’abdominoplastie s’adresse aux personnes ayant une dégradation esthétique du ventre : relâchement avec des plis, nombril affaissé.
L’origine peut-être liée à des amas graisseux localisés, survenant à certains moments de la vie de la femme (puberté, grossesses, ménopause). Ou à un excès de peau résultant d’un étirement de la peau dû à des prises et pertes de poids importantes, par exemple lors d’une grossesse ou suite à une chirurgie d’amaigrissement massif, dite «bariatrique» (gastroplasties, by-pass). La distension est plus ou moins volumineuse, responsable à l’extrême, d’une «vague » de peau descendant devant le pubis, appelée aussi « tablier abdominal ».
LES TECHNIQUES
La liposuccion
Réalisée sous anesthésie générale, elle s’adresse aux excédents graisseux isolés et permet de réduire les volumes disgracieux, de resculpter une silhouette abdominale harmonieuse de face et de profil – la peau ayant gardé suffisamment d’élasticité pour qu’il ne soit pas nécessaire d’en enlever, seules trois ou quatre cicatrices de quelques millimètres seront visibles.
La plastie abdominale
Lorsque la peau est détendue et forme des plis en-dessous du nombril, une mini-abdominoplastie est proposée. Réalisée sous anesthésie générale, elle vise à retendre la peau du bas du ventre et à effacer les amas graisseux ainsi que les plis de la peau. La cicatrice est courte, le nombril n’est pas touché.
Une abdominoplastie complète avec transposition de l’ombilic est souvent nécessaire, afin de retendre toute la peau du ventre située entre l’estomac et le pubis. Il faut d’abord la décoller et la détacher du nombril qui reste attaché en profondeur. On retire une grande quantité de peau en excès, située entre le pubis et l’ombilic et s’étendant sur les côtés. Puis la peau est tirée vers le bas et fermée par une cicatrice située à la limite supérieure du pubis et s’étendant sur les côtés. Puis on effectue une petite fenêtre juste en face du nombril pour le refixer en bonne position, par une très fine suture.
La cicatrice est placée dans les limites des sous-vêtements. Elle s’atténue au fur et à mesure en quelques mois.
LES PRÉCAUTIONS GÉNÉRALES AVANT
Respect d’un délai légal de 15 jours entre la première consultation et l’acte chirurgical. Ce délai permet au patient de mûrir sa décision d’opération, mais aussi de mettre en pratique les recommandations du chirurgien.
Pendant les 2 semaines avant l’intervention :
Pas de prise d’aspirine,
Signalement de tout traitement en c ours (contraception ou autre) à l’anesthésiste et au chirurgien plasticien et, qui demanderont éventuellement de leur interruption
Arrêt du tabac, en raison des risques de nécrose
LES PRÉCAUTIONS GÉNÉRALES APRÈS
Un arrêt de travail – suivant l’intervention réalisée- de 1 à 3 semaines minimum
Port d’une gaine pendant 3 semaines (ou 6 semaines suivant l’intervention réalisée) ; un traitement anticoagulant par une piqûre sous-cutanée tous les jours pendant dix jours est systématique afin d’éviter les complications thrombo-emboliques.
Pendant 1 mois : éviter tout effort musculaire important, le port de charges lourdes, la pratique sportive, la conduite (voiture, moto, vélo)
Pas de bain pendant 10 jours
Pas d’exposition au soleil durant les 3 mois suivants
Arrêt du tabac, pour faciliter la cicatrisation
Le résultat se juge le plus souvent vers 6 mois, les cicatrices à un an.
Bibliographie :
Société Française des chirurgiens Esthétiques plasticiens :
Depuis plus de 20 ans Karine Breack-Touzet évolue dans le domaine du projet hospitalier, ce qui l’a conduite à créer HOSPIHUB.
Elle est en constante relation avec les acteurs de la santé en France, au Maghreb et en Afrique. Son expertise s'étend aussi dans le tourisme de santé
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Date de publication
Zone géographique
France
L'Office National Tunisien du Thermalisme et l'Hydrothérapie présent aux Thermalies 2016
Lors du salon des Thermalies 2016 à Paris, Le Directeur Général de l’Office National du Thermalisme et de l’Hydrothérapie Monsieur Rzig Oueslati donnera une conférence sur le thème « L’Hydrothérapie en Tunisie », et ce le vendredi 22 janvier 2016 à 11h.
LE THERMALISME EN TUNISIE
En Tunisie le thermalisme n’est pas une vocation, c’est un héritage millénaire qui, au fur et à mesure des temps et des civilisations ayant traversé l’histoire du pays, s’est enrichi pour épouser son temps.
A ce jour, les vestiges des thermes de l’époque phénicienne sont présents dans la ville d’outhna. Cependant c’est à l’ère carthaginoise et romaine que le thermalisme a connu son apogée : Bulla regia, Dougga, Makthar, Sbeitla, Capsa, Carthage et ses thermes d’Antonin parmi les plus grandioses. Avec la conquête arabe, le thermalisme ne changera pas de nature. Les hammams vont faire leur entrée dans le vocabulaire thermal. Ils sont les dignes héritiers des mœurs romaines. Leurs vertus relaxantes en font un produit fortement apprécié par les tunisiens. Les hammams ont constitué le support durant l’ère coloniale, au développement du thermalisme contemporain et la création des centres thermaux et de cure.
L’évolution économique du pays, les nouveaux besoins générés par son développement n’ont pas manqué de stimuler le secteur du thermalisme aussi bien dans son aspect curatif que de loisir. On recense plus de 100 sources d’eaux thermales en Tunisie. Leur composition chimique particulière leur confère des vertus thérapeutiques qui ne sont plus à démontrer.
(Extrait présentation site web de l’ONTH)
COMPLEMENT HOSPIHUB :
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