
La dernière cérémonie des vœux ( 13/01/2017) de l’hôpital de Port-Louis/Riantec (56) avait été l’occasion, pour la Direction de présenter l’esquisse du futur hôpital de la rive gauche, dont l’ouverture est prévue en 2021.
Le nouvel hôpital rassemblera sur une surface de 13 000m2 de les unités riantécoise et port-louisienne. Le projet se concrétise par les travaux qui vont débuter prochainement.
Une phase préparatoire va être mise en œuvre avant les vacances de la Toussaint, avec la création, par l’hôpital, d’un parking provisoire.
« Il devrait être opérationnel début 2018. Une nouvelle voie d’accès du bâtiment actuel va aussi voir le jour durant toute la durée du chantier de construction des futurs bâtiments, en partie sur l’actuel parking. Le service de soins infirmiers à domicile (SSIAD) va quitter d’ici un mois les locaux modulaires pour être installés temporairement à Port-Louis, dans l’ancienne maison du directeur », a confié le directeur délégué.
AIA Architecture et en charge de ce projet .

Depuis plus de 20 ans Karine Breack-Touzet évolue dans le domaine du projet hospitalier, ce qui l’a conduite à créer HOSPIHUB.
Elle est en constante relation avec les acteurs de la santé en France, au Maghreb et en Afrique. Son expertise s'étend aussi dans le tourisme de santé

Le gouvernement des Comores lance un appel d'offres public pour la construction du nouveau Centre Hospitalier Universitaire National El-Maarouf.
Référence de l'AO: n°17-001/PR-SGG
Date limite de réception : 21 novembre 2017
Détails et coordonnées pour répondre : ICI

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Cédric Lussiez, le directeur du centre hospitalier a expliqué l’opération de modernisation et rénovation au journal le parisien , dans une publication du 12/10/2017 :
- « Premier chantier : revoir l’accueil de nos urgences : « Un nouveau bâtiment, qui inclut un service pédiatrique fonctionnant 24 heures/24 avec une équipe soignante dédiée. » . Le chantier, qui s’étalera sur un an, est évalué à 2,2 M€ et est subventionné par l’Agence régionale de santé à hauteur de 1,5 M€. Ce chantier sera lancé début novembre
- Fin 2018, lancement d’une nouvelle opération : l’extension de la maternité. La livraison est prévue pour octobre 2019.
- Création d’une seconde maison de retraite de 42 lits. Elle permettra de pallier la fermeture de celle située en centre-ville.

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D’une capacité d’accueil de 250 lits, le centre hospitalier provincial sera édifié sur une superficie de 26.562 m2, pour un investissement de 475 MDH. Le centre d’oncologie (80 MDH) sera doté d’une capacité de 30 lits.
Le ministre de la Santé, El Houcine Louardi a donné, lundi 9 octobre à Nador, le coup d’envoi des travaux de construction du centre hospitalier provincial et du centre provincial d’oncologie, pour un investissement global de 555 millions de DH.
Doté d’une capacité d’accueil de 250 lits, le centre hospitalier provincial sera composé de plusieurs pôles et services dont un pôle chirurgical, un pôle pour les urgences et un autre pour la femme et l’enfant, englobant les services de maternité et de pédiatrie.
Cette nouvelle structure disposera aussi d’un hôpital de jour, de salles de consultations externes et de diagnostic fonctionnel, d’une unité de radiologie et d’une autre réservée à la mammographie.
Le centre disposera aussi d’un complexe chirurgical doté de sept salles, un laboratoire disposant d’équipements modernes et d’autres dépendances, dont une pharmacie, une salle d’accueil et une morgue avec une salle d’autopsie.
Le ministère de la Santé s’est engagé à doter cet hôpital, une fois opérationnel, d’équipements biomédicaux et chirurgicaux modernes.
Le centre hospitalier provincial de Nador va fournir des prestations liées à la médecine générale et à plusieurs spécialités, dont la gynécologie et l’accouchement, la pédiatrie, la médecine générale, l’ophtalmologie, l'oto-rhino-laryngologie, la rhumatologie, l'endocrinologie et la néphrologie.
En ce qui concerne le centre provincial d’oncologie, qui sera construit sur 4.000 m2 avec une enveloppe s’élevant à 80 MDH, il est d’une capacité de 30 lits.
Cette structure disposera de plusieurs unités et services dont deux unités de chimiothérapie et de radiothérapie, un service les premiers soins d’urgence, un hôpital de jour, une pharmacie, un espace d’accueil et un bloc administratif.
Dans une déclaration à la presse, le ministre de la Santé a mis en exergue l’importance de ces deux centres hospitaliers qui viennent s’ajouter aux autres infrastructures sanitaires en cours de réalisation dans les provinces de Nador et Driouch, faisant état d’un investissement global de 922 MDH dans le cadre de ces projets.
Outre les 555 MDH mobilisés pour la réalisation du centre provincial hospitalier et celui d’oncologie, les hôpitaux de proximité de Zaïo et de Midar et provincial de Driouch devront mobiliser des investissements respectifs de 78 MDH, 74 MDH et 215 MDH.
(Avec MAP)

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C'est un projet hospitalier qui vous a déjà été présenté l'an dernier, pour ses multiples rebondissements : déclaration de marché infructueux, arrêt des travaux pendant le terrassement, reprise du projet architectural...
Cette fois-ci il faut constater que le nouvel hôpital d'Epinal ( NHE) "avance bien", depuis sa reprise en juillet dernier : ce sont les mots de Pierre Maître, le directeur du projet pour l'entreprise Demathieu Bard, responsable de la réalisation du gros-oeuvre. La livraison est prévue pour le premier trimestre 2020.
Dans une publication de Vosgesmatin.fr nous apprenons que la cérémonie symbolique a eu lieu vendredi 06//10/2017 en présence de Christophe Lannelongue, le directeur général de l’Agence régionale de santé, de Michel Heinrich, le Maire d'Epinal, de Eric Sanzalone, le directeur de l’hôpital, de Jean-Marie Martini l’architecte du projet, entre autres personnalités.
" Le chantier est d’une ampleur colossale, à tous les égards. Que ce soit par son budget, environ 150 millions d’euros. Ou que ce soit par les chiffres clés de l’édifice : 240 mètres de long, 30 mètres de haut, 6 niveaux, 69 000 m² de plancher, 40 000 m³ de béton, 41 000 tonnes d’acier, etc. Le projet qui a vocation à offrir une meilleure prise en charge des patients répondra à un besoin fort en termes de soins sur le secteur d’Épinal, et de Remiremont. Il faut dire que l’actuel hôpital est aujourd’hui vétuste. Et ne peut répondre aux nouveaux défis et enjeux. Que ce soit le développement de la télémédecine, de l’ambulatoire ou des nouvelles pratiques de soins."
Pierre Maître expliquait aux visiteurs ce jour-là "que tout le sous-sol (niveau -1) est terminé. Un sous-sol dans lequel 380 véhicules pourront stationner. avec un accès direct aux étages par ascenseurs. Ce ne seront pas les seules places de stationnement puisqu’il y en aura une centaine sur l’extérieur, et l’actuel parking aérien et ses 600 places sera conservé. Les premiers éléments de ce qui sera le niveau 0 sont même en train de pointer le bout du nez. On peut déjà d’ailleurs observer les prémices de ce que sera le service de radiologie avec les salles où prendront place l’IRM, les deux scanners et les urgences dans la continuité."
Pas de doute, donc le chantier du nouvel hôpital est bien lancé et ce geste symbolique qu’est la pose de la première pierre dans l’euphorie générale en atteste."
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Le projet faisait partie de ceux qu’HOSPIHUB mentionnait en septembre 2016, mais se posait à l’époque le problème du terrain pour l’implanter.
Le 28 septembre dernier, un an après donc, tout un parterre d’officiels et administratifs camerounais, assistant à la cérémonie de pose de la première pierre du futur hôpital de référence de Garoua.
C’est un terrain de 44 hectares de surface qui lui a été dédié : l´hôpital de référence de Garoua disposera d´une capacité d´accueil de 300 lits, des équipements et technologies les plus pointus en matière d´imagerie médicale, et de l´ensemble des spécialisations médicales et services, à l´instar des urgences, psychiatrie, chirurgie, obstétrique, laboratoire, etc. Il sera doté de 28 salles de consultation, cinq salles d´opération, deux d´accouchement et bien d´autres, le tout dans des aménagements au design moderne.
Un budget global de 29 milliards de F, financé par Exim Bank Corée et le gouvernement camerounais est consacré à ce projet dont le chantier durer 24 mois. Les travaux seront menés par l´entreprise Samsung C & T consortium, dont le vice-président était du déplacement de Garoua. Le ministre André Mama Fouda n´a pas manqué d´indiquer que l´importance du projet dépasse largement le cadre de la seule ville de Garoua, ou même de la région du Nord.
Le Minsanté a indiqué que cet hôpital de référence est un des jalons de l´offre sanitaire de ces cinq dernières années, marquées par la construction d’infrastructures sanitaires modernes telles que l´hôpital de référence de Sangmelima, l´hôpital Gynéco-obstétrique de Douala, la CHRACERH, le centre des urgences de Yaoundé (réalisé avec la coopération coréenne également), ou encore les Centres hospitaliers régionaux prévus dans le plan d´urgence triennal.

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Le Centre hospitalier de Coulommiers va prochainement entamer les travaux de construction d’un nouveau bâtiment dédié au service de médecine. Le projet soutenu par l’Agence Régionale de Santé depuis 2014, dispose d'un budget de 26 millions d’euros. Construit sur une surface totale de 4 000 m², le nouveau bâtiment sera doté de 120 lits. cf notre article de mars 2016.
Annoncée pour octobre prochain, la première pierre de ce nouveau bâtiment pourrait finalement être posée pour la fin de l’année. Ce projet de modernisation du Centre hospitalier de Coulommiers intervient quelques mois après la fusion des hôpitaux du nord 77* faisant du nouveau Grand Hôpital de l’est francilien (GHEF) l’un des plus grands hôpitaux de France derrière les CHU.
*Présentation du GHEF
Le Grand Hôpital de l’Est Francilien (GHEF) est un nouvel établissement né le 1er janvier 2017, de l’union de 3 établissements MCO et Psychiatrie du Nord Seine-et-Marne : les centres hospitaliers de Coulommiers, de Meaux, et de Marne-la-Vallée afin de garantir une offre de soins élargie, efficace et de proximité.
Cette fusion repose sur une ossature médicale : les pôles de territoire et les fédérations interpolaires.
Ces 15 pôles et fédérations de territoire constituent un établissement fusionné de premier plan, le plus grand hôpital français hors CHU, avec un budget annuel d’un demi-milliard d’euros.
Le Grand Hôpital de l’Est Francilien regroupe aujourd’hui 5 structures (hors sites extra-hospitaliers) sur les communes de Coulommiers (Sites Abel Leblanc et René Arbeltier), de Jossigny (site de Marne-la-Vallée) et de Meaux (sites Orgemont et Saint-Faron).

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Pour le 5e anniversaire de la clinique Les Flamboyants du Sud, le groupe familial, créé par le docteur Gérard d'Abbadie, annonce son projet de clinique Les Tamarins du Sud. Le Groupe de santé les Flamboyants fut le précurseur au plan national en proposant, en 1995, l'hospitalisation de jour dans son établissement privé de santé mentale la clinique les Flamboyants sis dans la ville du Port. Sur la même ligne en 2012, fut créée la clinique Les Flamboyants du Sud, à Pierrefonds-Village : «La demande de prise en charge, au fil des ans, est devenue de plus en plus forte et 30 % de notre clientèle se trouvait déjà dans le sud», indique le Dr Gérard d'Abbadie au site clicanoo.re.
Aujourd'hui, le groupe continue d'innover, puisque l'établissement de Saint-Pierre a ouvert l'une des toutes premières unités dédiées, exclusivement, aux jeunes adultes, en France. La clinique Les Flamboyants du Sud dispose de 70 lits en hospitalisation complète et de 40 lits en hospitalisation de jour, dont 12 pour les jeunes adultes. Le projet d'extension va permettre de créer, pour ce public, une douzaine de lits supplémentaires pour un investissement de 6,5 millions d'euros.
Une unité pour jeunes adultes va aussi être ouverte au Port. Le médecin psychiatre réunionnais souhaite aussi innover par une hospitalisation de nuit. « C'est une solution adaptée pour faciliter l'insertion des patients dans l'activité scolaire ou professionnelle, qu'ils peuvent poursuivre dans la journée. La demande est réelle et nous avons obtenu l'autorisation pour proposer ce service dans l'ouest », révèle Gérard d'Abbadie.
Grâce à toutes les initiatives développées par Les Flamboyants, depuis 22 ans, le groupe assure aujourd'hui, pour les troubles dépressifs et névrotiques, 35 % des hospitalisations complètes et 26 % des hospitalisations de jour, à La Réunion. Au total, la santé mentale représente près de 50 % de ses activités, à part égale avec les soins de suite et de réadaptation neurologique dispensés par la clinique Les Tamarins, au Port.
Un nouveau déploiement dans le sud
Accordée fin 2016, l'autorisation d'ouvrir un nouvel établissement de rééducation fonctionnelle va permettre au groupe Les Flamboyants de déployer l'ensemble de ses savoir-faire dans le sud. La nouvelle clinique sera donc nommée Les Tamarins du Sud et disposera d'un plateau technique spécialisé pour la neurologie et l'orthopédie. « Au Port, Les Tamarins accueille 800 patients en soins de suite et de réadaptation neurologique, dont 50 % ont été victimes d'un accident vasculaire cérébral », précise Aude d'Abbadie-Savalli, directrice générale du groupe Les Flamboyants.
Positionné sur la prise en charge précoce, en moins de 48 heures, l'établissement est le plus important de l'île dans sa spécialité. « Avec des outils innovants, puisque nous sommes le deuxième établissement de France à utiliser la robotique qui représente l'avenir de la rééducation neurologique », souligne Aude d'Abbadie-Savalli. Une extension du plateau technique, en 2017, va permettre de doubler la capacité d'accueil en hôpital de jour. L'hospitalisation de jour permet d'assurer la continuité de la prise en charge et facilite une réinsertion progressive, consolidant le maintien à domicile du patient."
D'après l'article source.

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Les Cliniques Sarrus-Teinturiers et Saint-Nicolas se sont agrandies pour donner naissance à une clinique de pointe : la Clinique Rive Gauche, ouverte depuis quelques jours.
Avec ce projet, les cliniques écrivent une nouvelle page de l'histoire médicale du quartier Saint-Cyprien, confortent leur position d'excellence comme pôle médical, obstétrical et chirurgical et s'affirment comme un acteur économique majeur de Toulouse.
Accueil :
De nouvelles consultations :
Deux ans ont été nécessaires pour que les deux cliniques n’en forment plus qu’une, au nouveau nom et nouveau logo "Clinique Rive Gauche". Le nouveau bâtiment, de plus de 9 000 m2 , permettra :
- de développer la chirurgie ambulatoire,
- d’augmenter le nombre de lits en maternité,
- de moderniser les blocs opératoires,
- d’améliorer les ux de prise en charge,
- de proposer les services d’un laboratoire…
L’objectif de ce projet est d’offrir une qualité de service optimisée aux patients et de meilleures conditions de travail aux salariés. Un projet qui s’inscrit parfaitement dans la démarche Développement Durable des cliniques qui participent activement depuis 2006 au Comité de Développement Durable en Santé (C2DS).
Le nouveau bâtiment prolonge la Clinique Sarrus, et se situe à l'angle des allées Charles de Fitte et de la rue de Cugnaux. Paré d'une immense façade vitrée, il abrite :
- 10 salles de blocs opératoires, dont 1 hybride,
- 26 postes de réveil,
- 51 cabinets de consultations,
- 1 salle de cardiologie interventionnelle,
- 55 postes ambulatoire,
- un espace Fast Track pour adultes et enfants (circuit ambulatoire très court)
- et 2 salles d'endoscopie.
Quelques images du bloc opératoire :
Alors que les consultations de gynécologie-obstétrique, anesthésie-obstétrique et des sages-femmes ont déjà déménagé, les autres cabinets de consultations suivront en octobre prochain.

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Les informations concernant l'état d'avancement des projets hospitaliers en Algérie - comme en Tunisie d'ailleurs- sont actuellement irrégulières. Si le silence est retombé sur les grands projets de CHU , il est à noter la reprise de chantiers , et l'achèvement de certains.
Considéré comme l'un des pôles sanitaires les plus importants de la région du sud-ouest de la wilaya de Tlemcen, l'hôpital de Sebdou refait peau neuve.
Il sera réceptionné dans les prochaines semaines, après inspection de la conformité des travaux et des équipements par la direction de la santé de la wilaya de Tlemcen. Une enveloppe de 130 millions de dinars a été allouée à cette opération comprenant sa réhabilitation, sa modernisation et la réalisation d'une unité d'urgences médicochirurgicales. Doté d'une capacité de 120 lits, cet établissement hospitalier, construit depuis plus de trois décennies, avait vu ses structures se dégrader au fil du temps. Ce qui a poussé les malades de toute la région à se déplacer jusqu'au CHU de Tlemcen.
Il couvrait auparavant l'ensemble des populations des communes de Sebdou, Sidi Djilali, Al-Aaricha, Al-Gor, soit plus de 120.000 habitants. Selon le directeur de l'hôpital, «cette opération s'inscrit dans la modernisation de tous les établissements hospitaliers, tant sur les plans structures qu'équipements, afin d'optimiser les soins et garantir aux malades une prise en charge médicale totale et de qualité».
Et de souligner « que les travaux de modernisation ont touché tous les services en plus des UMC, de la maternité, de laboratoires d'analyses et d'un centre d'imagerie médicale ». La réouverture prochaine de cet hôpital soulagera les patients, en réduisant leurs déplacements. Reste le problème récurrent de la dotation en praticiens spécialistes.
Deux nouvelles structures de santé bientôt en service dans la wilaya d'Alger
Le directeur de la santé et de la population de la wilaya d'Alger, Mohamed Miraoui, a annoncé récemment la réception, fin 2017, de deux structures sanitaires, une polyclinique à Baba Hassen et une clinique obstétrique à Douera.
Ces deux établissements qui seront réceptionnés en novembre et décembre prochains permettront d'atténuer la pression sur les établissements sanitaires de la capitale, a précisé M. Miraoui à l'APS.
Le taux d'avancement des travaux du projet de la clinique obstétrique de Douéra - d'une capacité de 150 lits - permettra selon le Responsable, à la structure d'entrer en service fin 2017. La réalisation de cliniques d'accouchement doit atténuer la pression sur les centres hospitalo-universitaires (CHU) d'Alger. Le projet du complexe maternité et enfant à Baba Hassen d'une capacité d'accueil de 80 lits, ayant atteint 64 % de sa réalisation, contribuera aussi à améliorer l'offre de prise en charge.
Deux autres projets, un hôpital à Zeralda (120 lits) et un centre de cardiologie infantile à Mahelma, sont en cours de réalisation, devraient être inaugurés fin 2018. Concernant les soins à domicile, le même responsable a précisé ces derniers sont assurés par 3 établissements hospitaliers à Alger. Il s'agit des hôpitaux de Bitraria (El Biar), de Rouïba et de Zéralda.

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